OCTAVIA ; « time runs so fast »

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Your majesty, the Queen
Octavia Hardansson

OCTAVIA ; « time runs so fast » Bannlots1

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The Royal Family
Arsenios Hardansson, le roi bien aimé. Nul doute sur le fait que le couple royal s'aime, et ce depuis le premier jour. Dès sa rencontre avec son fiancé de l'époque et époux d'aujourd'hui, c'est un sentiment puissant qui l'unit à lui. Ils se complètent, ne forment quasiment qu'une seule et unique personne et jamais homme, femme, monstre ou situation ne parviendra à détruire cette relation, devenue, si possible, plus solide qu'auparavant. Arsenios est le centre de son monde, de son univers. En tant qu'épouse, elle s'inquiète pour lui, sachant que sa disparition peut arriver sans prévenir. Elle ne conçoit même pas de perdre ce mari aimant et fidèle. Tempérant ce dernier lorsqu'il se laisse emporter par ses élans de cœur, elle l'assiste, l'aide, le seconde dans de nombreuses affaires, se montrant aussi bien plus terre à terre que lui. Heureuse en sa présence, elle lui cache cependant un malaise de plus en plus pesant pour ne pas lui causer de soucis. Le couple étant très uni, elle n'aimerait pas que ce dernier soit accablé par un problème qu'elle-même jugerait presque stupide. Malgré tout, elle a bien remarqué qu'il se montrait plus attentif, décelant une pointe d'inquiétude dans son regard. Raison pour laquelle Octavia a décidé de redoubler d'efforts pour résoudre son problème et continuer de le garder secret.

Izhelindë Hardansson, la princesse rebelle et première héritière du trône. Sa fille est l'aînée des deux enfants qu'Octavia a eu d'Arsenios. Très présente dans son éducation, de ses premiers pas jusqu'à il y a quelques temps, sa mère l'avait couverte d'amour et de douceur, lui racontant de nombreuses histoires, assistant à ses leçons, lui en donnant aussi, parfois, lorsque son devoir et ses responsabilités de reine ne l'appelaient pas ailleurs. Mais au fil des années, Izhelindë est devenue l'opposé de ce que sa mère aurait voulu. Désintéressée de ses devoirs, de son avenir, de son futur rôle de souveraine, elle est à présent source de tracas pour la reine, devant bien trop souvent à son goût faire face à ses fugues et à son insolence. Puis il y a aussi sa jeunesse, sa beauté. Izhelindë, bourgeon venant à peine de s'ouvrir, dispose d'un charme et d'une beauté presque surnaturels que toutes les femmes, même les moins envieuses, pourraient jalouser. Octavia, sans réellement faire partie de ces dernières, ne peut s'empêcher d'avoir un pincement au cœur en voyant sa fille. Car il n'y a pas qu'elle qu'elle regarde lorsque ses yeux se posent sur la princesse : il y a aussi ses propres jeunes années, sa propre beauté d'autrefois commençant à se faner, tous ses souvenirs heureux et maintenant terminés. Pourtant, elle l'aime à n'en pas douter, et les intérêts de sa fille priment sur tous les autres, ainsi que ceux de son frère et de son père. Mais on peut retrouver une certaine tension entre la mère et la fille, Octavia étant, sans réellement le vouloir, plus sévère avec qu'elle qu'elle ne le voudrait.

Lucius Hardansson, le prince idéaliste et second héritier du trône. Deuxième enfant qu'elle a eu avec Arsenios, Lucius et sa mère, pendant de nombreuses années, partagèrent une complicité sans faille. Ce dernier se réfugiant souvent dans ses jupes lorsqu'il s'attirait quelques problèmes ou craignait de se faire gronder, il reçut autant d'amour qu'Izhelindë de la part de la reine, afin qu'aucun ne puisse être jaloux de l'autre sur ce plan là. Très présente pour lui aussi durant son enfance et son adolescence, tant pour son éducation que pour une véritable relation mère/fils, son principal but fut de le protéger de tout ce qu'il pouvait se passer à l'extérieur, tout comme pour son aînée. Ressemblant énormément à son père, tant physiquement que mentalement, Octavia avoue être réellement fière de lui. Et à vrai dire, à part son côté un peu trop aventureux et idéaliste, elle ne lui voit rien de bien concret à lui reprocher. Toutefois, la reine continue de considérer son fils comme un enfant, ou du moins comme un jeune homme, mais pas en tant qu'homme à part entière. Non seulement est-il toujours jeune, mais ses aventures sont, à ses yeux, plus celles d'un adolescent que d'un adulte. S'il veut que sa mère le traite comme tel, qu'il agisse donc en conséquence, en cessant par exemple de courir après la gente féminine, auprès de laquelle il remporte un franc succès. Le convoquant assez souvent dans ses appartements pour lui parler de sa conduite, Lucius hausse fréquemment le ton contre elle, bien plus sanguin que ne l'est sa mère. L'amour et la fierté sont tout de même présents pour son fils, point sur lequel elle ne permet pas le moindre doute.

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Famille et amis
Asclépios Lenwë, le cousin dragonnier. Octavia l'a rarement vu durant son enfance, et encore moins depuis son couronnement. Cependant, elle a gardé suffisamment de bons souvenirs avec Asclépios pour le considérer comme étant plus proche qu'un cousin. Eux deux entretiennent une correspondance depuis qu'ils se connaissent. Si ça ne tenait qu'à elle, Octavia essaierait de le voir plus souvent, mais leurs places rendent la chose assez difficile. Eux deux entretiennent l'espoir que leur deux peuples s'unissent pour protéger Lanriel. La reine sait parfaitement que le soutien des dragonniers ne pourrait qu'être bénéfique pour les deux partis. Tout comme elle sait qu'Arsenios ne refusera certainement pas l'aide que ces derniers pourraient lui offrir. On l'aura compris : l'un des quatre dirigeants du clan des dragonniers et la reine de Lanriel s'entendent à merveille, autant en tant que cousins que politiquement.

La Cour
Scarlett de Vinter, l'assassin diplomate.Autant dire que dans les débuts, Octavia vit d'un œil assez mauvais que la jeune femme devienne l'assassin s'occupant de la famille royale. D'autant plus que la reine ne savait pas, vu le personnage, si elle pouvait lui accorder une certaine confiance ou non. Toutefois, Scarlett, sans réellement le chercher, lui a montré des qualités qu'elle ne peut qu'apprécier : son talent certain dans la politique fait d'elle une jeune femme tout à fait au courant des dangers que la Cour peut apporter, entre conspirations et trahisons et sachant très bien comment dénouer les nœuds. Et un point commun, un ! La jeune lady a aussi su plusieurs fois montré qu'elle était bel et bien digne de confiance, et leurs avis se rejoignent sur certains points, notamment celui de l'idéalisme du roi et de sa trop grande générosité. Toutefois, si la reine ne nie pas l'apprécier et avoir une très bonne estime d'elle, il n'est pas non plus rare de les voir en désaccord, provoquant certaines disputes cachées derrière des paroles et un ton polis, mais tout de même peu agréables. Disons que l'on pourra les retrouver aussi souvent complices que rivales.

Les Inimitiés
Aranka Seraphinus, la Mère Inquisitrice. Entre la Reine Octavia et cette femme, le courant n'est jamais passé. Le fait que cette dernière la traite sur un pied d'égalité alors qu'elles étaient loin d'avoir le même statut d'origine aurait eu largement de quoi l'agacer. Ce fut d'ailleurs le cas, mais la qualité de Mère Inquisitrice d'Aranka lui permettait d'être la bénéficiaire d'une certaine forme de respect de la part de la reine. Et à vrai dire, s'il n'y avait eu que ça, Octavia aurait été loin d'être plongée dans la royale colère dans laquelle elle peut être lorsque ses pas viennent à rencontrer ceux d'Aranka. Elle ? Pingre et intéressée ? Sur le coup, la reine aurait pu la gifler. Comment osait-elle proférer de telles insultes à elle, femme du roi de Lanriel, mère des deux héritiers ? Depuis, la souveraine ne peut plus voir les traits de l'inquisitrice sans éprouver une profonde colère, qu'elle parvient cependant à garder pour elle. La chose est simple : Octavia l'évite le plus possible.

Dernière édition par Octavia Hardansson le Dim 19 Déc 2010, 13:37, édité 2 fois

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Votre Majesté?

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Moi?
J'ai mis dans ma fiche de prez' que nous étions cousins, cela te dérange-t-il?
Je suis aussi l'un des Quatre Dirigeants du Clan des Dragonniers!

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Scarlett, aucun problème ! Je dirais même plus que je comptais te faire la même proposition. Des idées ?
Ahaa un cousin, j'adhère ! Je file lire ta fiche, mais dans tous les cas, je suis pour ^^

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Super!
*O*

(c'est le DC de ta fille xDD )

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Mdrrr t'aimais tellement le personnage de ta mère que t'en as voulu aussi comme cousine hein !
Bon alors, j'ai lu ta fiche, et j'ai vu qu'Asclépios était particulièrement motivé pour rallier les dragonniers à la cause de ton beau cousin/papa. Donc ce que je propose, c'est qu'Octavia et ton dragonnier, sans s'être vus de nombreuses fois dans leurs vies, se sont à chaque fois suffisamment apprécié pour entretenir une correspondance régulière. Et ils pourraient en profiter pour essayer, justement, de lancer cette alliance pour sauver Lanriel. Ils s'entendraient donc autant politiquement que fraternellement presque, et Octavia, sous réserve de l'accord de son mari, serait prête à se déplacer jusqu'à Mhian Dhiaga pour montrer sa bonne foi.

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Ça me va!
Oui, Octavia est un personnage super! J'ai hésité, mais comme je n'ai pas trouvé de vava d'elle j'ai choisis sa fille qui me plaisait tout autant!

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Et comme tu as bien fait au final ^^
Bref, je rajouterais Asclépios dans la soirée. Et je suis en plein dans ta réponse !

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Eh bien vu que je suis chargée de la protection de la famille royale, on se connaît forcément. Après à voir si on s'entend bien ou pas. Octavia étant relativement traditionnelle et Scarlett pas du tout, je pense que leur relation serait sans doute relativement conflictuelle.

Invité

Je pense plutôt que leur relation aurait été conflictuelle dans les débuts, justement à cause de ces différences. Mais d'un autre côté, Scarlett a des qualités qu'Octavia ne peut qu'apprécier : elle sert et aide Arsenios, en tant qu'assassin, mais aussi en tant que diplomate. Et au moins, elles sont d'accord sur une chose : le roi est aussi idéaliste que ses enfants, et a tendance à trop souvent vouloir accorder une seconde chance aux autres. Je pense plutôt que les deux personnages pourraient au moins s'estimer réciproquement, passant par des phases conflictuelles lorsque leurs avis divergent, pour ensuite s'entendre à merveille et "agir" ensemble à la cour lorsqu'elles sont d'accord.
Qu'en dis-tu ?

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J'en dis que ça me plaît beaucoup! Je t'ajoute rapidement dans ce cas!

Invité

Tant mieux alors ! Je te rajoute dans la soirée ou demain =)

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