une quête, celle de toute une vie, de la mienne (Meï)

▬ Par le nom que je porte, Caelyss Meï, un nom que ma mère m'a offerte dès ma naissance.
▬ Par mon lieu de naissance, originaire du Septentrion, je naquis à Rhewlif, le glacier.
▬ Mon âge, vingt ans
▬ La personne que je suis, sorcier du second ordre ayant la capacité d'être un messager de la déesse, de contrôler l'eau comme élément et de guérison.
▬ Et les responsabilités qui vont avec : guérisseuse
▬ J'ai voué ma loyauté indéfectible à ma déesse et à moi-même.
▬ Miroir, mon beau miroir Nicola Peltz

Meï est une personne qui voyage énormément et qui rêve d'aventures. Depuis qu'elle est considérée officiellement comme guérisseuse, la jeune femme possède une besace assez chargée. Tout d'abord, au niveau de l'armement. En effet, quand on voyage, on ressent le besoin de se protéger de tout éventuel danger. C'est pourquoi, même si Meï n'apprécie pas les armes, elle en porte sur elle et grâce à son frère, Galaahad. Meï possède de ce fait une dague que son frère a lui-même forgé. La lame se veut fine et légère, parfait pour se défendre, ainsi que deux couteaux pour ses activités, la nourriture, mais ces-derniers peuvent également devenir des armes si nécessaire. La jeune sorcière est également la propriétaire d'une carte du royaume et d'une boussole afin de guider ses parcours à travers les sentiers les plus hasardeux. Le fond de sa besace renferme aussi une corde et quelques ustensiles pour faire la cuisine ainsi que des plantes naturelles et un manuscrit particulièrement petit sur ce thème afin de lui rappeler toujours comment en utiliser certaines. Meï est quelqu'un de très curieuse et qui aime s'instruire, aider. Elle pourrait passer des heures à lire les plus poussiéreux des livres et à chaque escale dans une cité, elle essaie de dénicher la perle rare à un prix correct. En dehors de cela, Meï possède une sorte de pommade dans une petite boîte pour aider à la guérison des brûlures. Une confection de sa mère, Orube. Les vêtements de la jeune femme sont ordinaires, même si chez son frère, elle possède une tenue très chaude en peau d'animal pour tenir du grand froid. Ses cheveux sont ornés de quelques bijoux fabriqués par elle-même quand elle était petite. Enfin, Meï Caelyss possède aussi une sorte de gourde fabriquée par son frère où elle garde toujours dedans, une réserve d'eau. L'eau n'est pas à boire contrairement à ce que l'on pourrait penser, mais à contrôler dans divers cas. Généralement, elle s'en sert pour se défendre.


▬ Je ne vous apprends rien en vous disant que Lanriel possède un roi, mais ce que j'aimerais savoir c'est ce que vous pensez de lui :C'est un homme que Meï ne connait pas, cependant, elle ne lui accorderait pas sa confiance. Certes, c'est son roi et elle le servirait car c'est son devoir, mais Meï se veut pacifique et d'une grande bonté, elle n'accorde pas de crédit au roi, tout simplement. Elle préfère se montrer méfiante car sait-on jamais. Ce roi connait-il la souffrance des plus pauvres ? Certainement pas.

▬ En parlant de seigneurs souverains, évoquons un peu les deux puissances divines de Lanriel Meï se sent très proche de la déesse Eydis, au point de s'estimer comme une messagère qui doit répandre la parole de sa déesse. Elle lui doit ses pouvoirs et essaie de lui rendre hommage de part sa profession et ses agissements. D'une générosité et gentillesse importante, Meï est contre Mynkor qui symbolise pour elle, les ténèbres et la noirceur de l'âme. Néanmoins, elle espère croire que les adeptes du mal pourront revenir dans la lumière.
▬ On a tous son petit ego et moi, Inasmir, le sorcier légendaire, n'échappe pas à ce vice. Alors répondez donc à cette question, que pensez-vous de moi? (développez ici en quelques lignes comment votre personnage se positionne par rapport au Sorcier, à son rôle dans la guerre et à sa fuite).

▬ La chute du Bouclier aurait secoué toutes les terres mais il y a des gens que cela laisse de marbre, je serai curieux de savoir si vous êtes une de ces personnes (développez ici en quelques lignes comment votre personnage se positionne par rapport à la chute du Bouclier et les conséquences qu'elle a pu avoir sur sa vie.).

▬ Mais dites-moi mon ami(e), racontez-moi donc un peu ce qui fait de vous un être si exceptionnel... Peut-être sa grande bonté ? En effet, Meï est un serviteur exemplaire de sa déesse et veut tout simplement rendre le monde meilleur. Contre la violence, elle soigne volontiers tout le monde et ignore le passé de la personne, qu'il soit un tueur, un voleur ou une fille de joie. Répandre la bonne parole, la volonté de Eydis est dans sa nature, comme une sorte d'oracle ou plutôt, de messager oui. Le fait d'être une sorcière lui offre le don de guérison et en ça, Meï estime que c'est une chance. Contre la cruauté et les armes, elle n'apprécie pas l'armée ou le roi de part certains choix. Mynkor est selon elle, un chemin que l'on suit après un abandon, car personne ne nous tend la main et lentement, on sombre dans un monde obscur. Meï n'est pas ainsi. Elle veut aider et tout faire pour. Attention cependant, c'est un être unique, mais pas une idiote. Maligne et intelligente, elle n'est pas naïve à croire en à la bonté humaine et vouloir ressouder les peuples par la paix. Elle est même méfiante dans certains cas et n'est pas à sous estimer puisqu'elle maîtrise son élément d'une très bonne façon et même si elle se consacre plus à son don de guérison, l'eau et elle ne font qu'un, ou presque.

▬ Tous les goûts sont dans la nature, n'est-ce pas? Alors éclairez-moi donc sur les vôtres... Meï a reçu une très bonne éducation grâce à sa mère, Orube. Elle a eu la chance d'apprendre à lire et à écrire. La jeune femme est une grande amatrice de lecture et se veut curieuse de nature, toujours en soif de connaissance. Elle veut devenir quelqu'un de sage et vivant dans un monde en paix, une sorte d'ermite, sans pour autant être exclu du monde puisqu'elle aime le contact et sa profession qu'elle a apprit sur un temps assez court, malgré tout. La découverte du monde et de son savoir, vouloir percer les secrets du monde, les comprendre et les étudier, voilà ce qu'aime la jeune sorcière. Les animaux sont très appréciés par elle également, ainsi que la nature. Meï ressent presque un besoin parfois d'être dans la nature, allonger dans l'herbe, dans une forêt à toucher un arbre, admirer un paysage et la beauté du monde.

▬ Tout le monde veut quelque chose, il suffit de découvrir ce que VOUS vous désirez. Meï n'aspire qu'à une chose, la paix entre les peuples et une sorte d'utopie. Un monde où Eydis se veut aduler et où les gens s'entendent bien. Elle veut retirer tous les maux que la terre possède, mais n'est pas encore prête à se dire que l'on peut y arriver par la violence. C'est un raisonnement unique et étrange, mais Meï est déterminée à être le messager de la paix, d'un monde meilleur.

▬ Et les autres dans tout ça. Meï apprécie énormément les druides et les admires. C'est la même situation avec les devins. Elle considère ces êtres comme exceptionnelles et de part sa nature curieuse, aimerait tout savoir de ces peuples. La sorcière apprécie ses semblables, mais elle doit reconnaître qu'elle les craint aussi. Ils sont puissants et certains pourraient basculer chez Mynkor et devenir un danger pour eux, comme les autres. Les singuliers ne sont pas à sous estimer et représente une espèce noble qu'il faut savoir aider. Elle le fait en les soignant parfois, sans rien demander en retour. Les rôdeurs sont certainement ceux que Meï connait le moins. Ils lui font un peu peur, elle doit le reconnaître, mais le contact qu'ils ont avec animaux et le mode des vie est intriguant et fascinants à la fois. Les dragonniers représentent l'espèce la plus noble pour Meï. Elle a une admiration dévorante pour eux de part leur lien avec les dragons. Elle rêverait de visiter les cités de ce peuple, oh que oui. Les dessinateurs sont étranges, mais fascinants encore une fois, intéressants. Ils représentent un peu les poètes et artistes de notre monde. Sans eux, ça serait bien triste. Enfin, les inquisitrices sont essentielles au bien être, même si Meï ne les connait que de nom.