| | HYWEL ▬ « j'oppose mes rêves à tes armes : lequel de nous deux est le plus fort ? » | |
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| Sujet: HYWEL ▬ « j'oppose mes rêves à tes armes : lequel de nous deux est le plus fort ? » Dim 05 Déc 2010, 20:09 | |
| Every great story has a beginning © the endless loveEt la mienne commence ici ▬ Par le nom que je porte, Hywel Teresa, plus communément surnommée « Resa » ou encore « Rei ». ▬ Par mon lieu de naissance, Rocrouge, Bairr Bán. ▬ Mon âge, vingt-trois ans. ▬ La personne que je suis, une Inquisitrice semblables aux autres. Si l'on peut considérer ces dernières comme des êtres normaux et pas des erreurs de la nature. ▬ Et les responsabilités qui vont avec : ayant vu le jour dans une famille plus qu’aisée, elle dispose désormais d’assez d’or pour vivre confortablement jusqu’à la fin de ses jours – chose que l’on ne peut deviner en la regardant, puisqu’elle porte des vêtements qu’elle recoud elle-même et qui sont recouverts de poussière. Elle emploie ses connaissances en herboristerie pour en faire bénéficier les plus nécessiteux, jugeant le prix normalement demandé pour des catasplames, des potions ou autres, totalement honteux. ▬ J'ai voué ma loyauté indéfectible aux personnes dont je peux être sûre de leur bon fond, la liste est courte car bien peu en-dehors de la cité acceptent de se faire toucher par une Inquisitrice. ▬ Miroir, mon beau miroir Odette Yustman.
Votre besace ♠ Une dague. Les épées, très peu pour elle. Elle ne se sent pas la force de se battre avec plus d’un quart d’heure, alors en acheter une serait une pure perte de temps. Surtout lorsque l’on s’aperçoit que la jeune femme fait des merveilles avec une dague. Celle qu’elle possède actuellement lui vient du Temple des Inquisitrices ; une amie à elle la lui a offerte avant son départ, afin qu’elle puisse se protéger en cas d’attaque. Par la suite, Resa a rajouté de fines lamelles de cuir autour de la poignée afin d’en faciliter la prise. Une arme qu’elle cache dans un fourreau, pendu à sa ceinture. ♠ Un poignard. Ça, c’est Say’l qui a tenu à lui en procurer un. Certes il doit veiller sur elle, mais si la jeune femme avait de quoi se libérer en cas d’agression, sa tâche en serait grandement facilitée. Il lui a montré comment s’en servir, où le cacher – a récolté aussi une bonne gifle pour lui avoir suggéré de le glisser entre ses seins – soit le long de son mollet, soit au niveau de son avant-bras, mais toujours sous les vêtements. La différence notable entre la dague et le poignard, lui avait-il dit à l’époque, c’est que le poignard ne doit être vu qu’au dernier moment ; c’est une arme de défense que tu dois avoir sur toi à n’importe quel moment. Une leçon qu’elle a bien retenu puisqu’elle ne quitte jamais la petite lame aux reflets bleutés. ♠ Besace en croûte de cuir. La première chose marquée sur la longue liste des « choses à faire avant le départ » était d’acheter une besace. Cette dernière l’accompagne encore malgré les années, transportant en son sein d’innombrables sortes de plantes séchées – médicinales ou non – qu’elle utilise lorsqu’elle crée des cataplasmes, des onguents ou autre. ♠ Équipement en vrac. Mis à part ces quelques objets précis cités plus haut, Teresa a aussi des affaires de rechange. Si, en temps normal, sa tenue se résume à une combinaison complète en cuir sombre accompagnée d’une large cape en fourrure pour lui tenir chaud, elle peut aussi passer plus inaperçue en portant une ample robe en grosse laine aux manches longues et évasées, qui lui descend juste en dessous des chevilles, laissant la pointe de ses pieds dépasser. Dans l’une des fontes de sa monture se trouve aussi un ustensile célèbre d’herboristerie : un mortier et un pilon, qui lui servent tellement souvent qu’elle envisage d’en racheter un vu l’usure dont souffre le premier. - Spoiler:
Des informations auxiliaires ?Sa dague est relativement banale, si l’on occulte les lanières de cuir rajoutées par Teresa. Elle la porte dans un fourreau simple, suspendu à sa ceinture. Son poignard, quant à lui, possède un manche assez épais pour ne pas nécessiter de telles modifications. Sa lame brille de reflets bleutés dû au travail effectué sur le fer. Il est collé à sa peau par des attaches en cuir. Nombreuses sont les fines cicatrices qui ont zébré sa peau avant qu'elle ne parvienne à le tirer sans se blesser. Le cuir de sa besace est doux au toucher, à cause de la façon dont il a été travaillé. D’une couleur marron clair, c'est le genre de besace que l'on trouve n'importe où. La chose la plus coûteuse de tout son équipement, c’est sans doute sa combinaison en cuir. Quoi que combinaison n’ai pas le même sens qu’à notre époque : c’est un ensemble savamment taillé afin de donner l’impression qu’il est fait d’une seule pièce. Malgré ce que l’on peut croire, le cuir est suffisamment souple pour permettre à la jeune femme n’importe quelle acrobatie, si tant est qu’elle doit en faire. Il est néanmoins relativement résistant et résiste assez bien à l’usure ; évidemment ce n’est pas le genre de vêtement que l’on doit porter lorsque l’on est en plein combat. D’où l’insistance de Say’l pour qu’elle se procure une cotte de mailles. L’ensemble est d’une couleur proche du noir, un marron foncé très sombre, et compte quelques lanières aux boucles argentées au niveau des bras et des jambes. Une large cape de fourrure, avec une capuche. Inutile de savoir d’où provient cette fourrure, de toute façon elle l’ignore. Cet accessoire est si vieux qu’il pourrait lui avoir été transmis par sa mère. La fourrure est couleur d’automne, un fauve léger agrémenté de touffes noires. Exemple de cape || Exemple de capeExemple d'attache en cuir || Exemple de poignardExemple de dague || Exemple de fourreauExemple de mortier et pilon || Exemple de besace en croûte de cuir
L'interrogatoire d'Inasmir ♠ Je ne vous apprends rien en vous disant que Lanriel possède un roi, mais ce que j'aimerais savoir c'est ce que vous pensez de lui : Qu’est-ce qu’un roi ? Un roi, c’est un homme qui pense avant tout à son peuple. Un homme comme Arsenios Hardansson. Si Teresa n’est pas réellement une jeune femme dévouée corps et âme à la cause royale, elle n’en demeure pas moins admirative envers les actions de l’actuel dirigeant. Elle voit en lui une personne fiable, quelqu’un qui saura protéger les siens jusqu’au bout. Néanmoins elle ne l’a jamais véritablement approché et se garde donc d’avoir un avis arrêté sur lui. Comment pourrait-elle être certaine de sa bonté d’âme si elle n’arrive pas à ne serait-ce que l’effleurer afin d’être sûre qu’il est tout ce qu’il paraît ? Même si, en apparence, Arsenios ne semble pas porter de masque, elle se méfie. Au fond d’elle, cependant, une part de l’adolescente – et de l’enfant – qu’elle était continue de porter sur le roi un regard empli de respect et d’adoration. Avec une pointe de cet amour platonique que ressentent parfois les jeunes filles pour les hommes qu’elles idéalisent. Mais Resa n’est pas amoureuse, loin de là. Alors depuis qu’elle a compris le sens du mot « confiance », elle essaie de ne plus voir Arsenios comme l’icône du peuple mais plutôt comme un homme qui pourrait, à tout moment, abuser de la confiance de ses sujets. Prudence est mère de sûreté, n’est-ce pas ?. ♠ On a tous son petit ego et moi, Inasmir, le sorcier légendaire, n'échappe pas à ce vice. Alors répondez donc à cette question, que pensez-vous de moi ? Inasmir nous a tous trahis. Partagée entre une haine implacable envers le sorcier légendaire, et l’envie de ne voir en lui qu’un homme, Teresa Hywel ne cesse de s’interroger. Pourquoi a-t-il laissé tomber les siens ? Pourquoi, en s’enfuyant avec cette Inquisitrice, a-t-il brisé le « Bouclier » ? Tant de questions sans réponse. D’un côté, la jeune femme se dit que le peuple n’aurait pas dû faire autant confiance à un être qui disposait d’un moyen de pression aussi important sur eux. Elle le déteste pour l’égoïste réaction qu’il a eue, pour le malheur qu’il a apporté sur ses frères – car nous sommes tous humains avant tout. Cette colère sourde à son égard s’intensifie jour après jour, voyage après voyage, lorsque son regard noisette tombe sur les familles brisées qui souffrent encore aujourd’hui de l’absence de cette mystérieuse protection magique. Mais Resa ne peut que se dire, avec amertume, qu’Inasmir n’était qu’un homme comme les autres. Malgré ses dons impressionnants, malgré tout son savoir, malgré… Il n’était qu’un homme faible, dont la loyauté pouvait à tout moment vaciller. Dont la bonté, si lumineuse et si sage, avait viré en méchanceté gratuite. S’il n’avait fait que disparaître, elle aurait pu ne pas lui en vouloir. Mais en détruisant le « Bouclier », en emportant avec lui son secret, il a rendu le monde entier aux mains crochues des créatures des ténèbres, causant la mort de plusieurs centaines de personnes. Donc elle le hait, c’est sûr. Au point de le tuer ? Non, jamais. Elle passerait juste son chemin si, un jour, le grand sorcier Inasmir lui demandait de l’aide. Elle le laisserait crever la bouche ouverte, la main tendue vers elle en signe de supplication. Ah, vraiment ? Peut-être pas, en fin de compte… Mais comment être sûr de ses sentiments envers quelqu’un qui n’est plus là ? ♠ La chute du Bouclier aurait secoué toutes les terres mais il y a des gens que cela laisse de marbre, je serai curieux de savoir si vous êtes une de ces personnes ? « Le Bouclier est tombé ! Le Bouclier est tombé ! » Comment réagiriez-vous si un cri pareil vous parvenait aux oreilles ? A l’époque, Teresa avait seize ans. Elle commençait à peine à se sentir normale parmi ces femmes qui lui ressemblaient. Elle envisageait l’avenir sous un jour plus glorieux. Et … Le « Bouclier » a disparu, tout comme Inasmir et cette Inquisitrice dont le nom lui échappe. Le malheur s’est abattu sur le monde telle une pluie de météorites, causant mort et destruction sur toutes les peuplades. La peur de dormir, la peur de la nuit revint. Resa a souffert. D’où sa décision de quitter le Temple afin d’apporter la vérité et des soins à ceux qui le voulaient. Seulement, elle s’est aussi rendue compte qu’en-dehors de la citée, loin de tout le soutien de ses sœurs, elle n’était rien de plus qu’une Confidente qu’on craignait, qu’on méprisait même. N’étant pas capable de se défendre, elle est vite revenue auprès des siennes. Pour repartir deux ans plus tard, mieux préparée et accompagnée d’un mercenaire qu’elle paie rubis sur l’ongle grâce à sa fortune personnelle. Fortune qu’elle n’utilise que pour garder Say’l auprès d’elle et faciliter leur voyage. Cinq ans plus tard, et elle arpente toujours les routes poussiéreuses. Elle a sans doute maigrit, ses traits se sont affirmés et son regard durcit, mais elle pense avoir pris bonne décision. ♠ Mais dites-moi mon amie, racontez-moi donc un peu ce qui fait de vous un être si exceptionnel... Teresa, quelqu’un de spécial ? Si par « spécial » il est entendu « monstrueux », alors oui, Teresa se considère ainsi. Seulement, ce n’est pas ce que l’on pense en la voyant. Dotée d’un caractère impétueux et brûlant, elle veut sans cesse avoir le dernier mot. N’hésitant pas à faire valoir son opinion, elle s’attire de nombreux problèmes que Say’l, son mercenaire attitré, a bien du mal à régler. Il faut dire que la jeune femme ne mâche pas ses mots. Sans pour autant être mauvaise, elle est rancunière et supporte très mal la tromperie, quelle qu’elle soit. Resa est franche, plus qu’on pourrait le croire. La vérité prime sur le reste, selon elle. Cependant, l’Inquisitrice n’aime pas parler d’elle, et de son « don ». Elle méprise son pouvoir de soumission, allant jusqu’à l’étouffer au plus profond d’elle ce qui occasionne quelques problèmes de contrôle – comprenez par là qu’elle évite de toucher les gens parce qu’il lui arrive, sans le vouloir, d’asservir leur esprit pendant quelques menues secondes, ce qui la laisse aussi bien faible qu’en colère contre elle-même. Concernant son autre capacité, celle de discerner le vrai du faux, c’est plus complexe : elle a appris à respecter cette part d’elle, s’en servant comme d’un moyen utile et indolore pour ne plus donner sa confiance à des êtres qui ne la méritent pas. ♠ Tous les goûts sont dans la nature, n'est-ce pas ? Alors éclairez-moi donc sur les vôtres... Le contact visuel. Teresa ne parle que très peu. Ses phrases sont courtes et directes, elle ne passe pas par quatre chemins. Le reste du temps, lorsqu’elle ferme ses lèvres pour une durée indéterminée, son regard se charge de faire passer tous les sentiments qu’elle peut ressentir. Aussi aime-t-elle plonger ses yeux bruns dans ceux d’autrui, aussi bien parce que cela lui permet de se faire une brève idée de son esprit – les yeux sont les fenêtres de l’âme – que parce qu’elle s’amuse de voir la façon qu’ont les autres de réagir. Si certains fuient ses iris inquisiteurs et joueurs, d’autres affrontent sans sourciller le combat qu’elle leur propose. A celui qui arrivera à faire baisser le regard de l’autre en premier… Mais le contact visuel ne se résume pas à cela, il permet à Resa de créer une connivence particulière avec les personnes qu’elle apprécie, et ceux qui l’attirent physiquement. Avez-vous déjà plongé vos yeux dans ceux d’une personne qui vous plaît ? C’est comme de ressentir la chaleur d’un feu de camp dans votre poitrine, vous sentez votre cœur s’accélérer, venir frapper vos côtes douloureusement. L’adrénaline parcourt vos veines, votre sang vous monte à la tête. Vous avez l’impression que le monde entier a disparu, qu’il n’y a que lui et vous. Ce n’est pas de l’amour, juste une folle attraction. C’est cela qui fait autant apprécier le contact visuel à Teresa ; à force de rester silencieuse, elle a appris à toucher, à parler avec les yeux. De la presque empathie. Le mensonge. Cela peut paraître absurde, et en fin de compte, pour qui n’est pas Inquisitrice, ça l’est. Tout le monde ment, à un moment ou à un autre de sa vie. On ment pour ne pas blesser l’être cher, on ment pour se préserver, le mensonge fait partie intégrante de la vie de l’homme. C’est bien pour ça que Resa ne le tolère pas. Ses capacités lui permettent de savoir, avec plus ou moins de certitude selon le moyen employé, qui ne lui dit pas la vérité. Alors lorsqu’elle se rend compte qu’on l’a bernée, sa colère est implacable. Et elle n’oublie jamais une personne qui lui a mentit. Mieux vaut donc s’abstenir d’oser proférer des fables en sa présence. Elle risquerait d'en perdre son sang-froid, ou de vous vouer une haine implacable par la suite. ♠ Tout le monde veut quelque chose, il suffit de découvrir ce que VOUS vous désirez. Un rêve, ce n’est rien de plus qu’une bulle de savon fragile et irisée. Des rêves, Teresa en a par centaines. Mais des désirs… Quand elle s’est rendue compte qu’elle était une Inquisitrice, le premier souhait qui s’est imposé à elle fut d’être débarrassée de ce qu’elle considérait être une malédiction. Elle ne voulait pas soumettre les esprits à sa volonté, elle ne voulait pas démêler le vrai du faux, elle ne voulait tout simplement pas être regardée avec autant de respect que de crainte. Puis, avec le temps, même si sa répulsion envers son premier pouvoir est toujours aussi forte, elle a compris que le monde avait besoin de gens comme elle. Sans dire qu’elle est allée jusqu’à sacrifier sa vie pour aider autrui, elle a juste cessé d’espérer être normale. Mis à part ça, elle a des souhaits qui peuvent sembler banals : que le « Bouclier » soit restauré, que la paix et l’ordre reviennent, que la populace n’ait plus à souffrir de la « vengeance » d’Inasmir… Mais elle est femme avant d’être Confidente. Elle aspire à trouver une personne qui la soutienne, qui l’apprécie et à qui elle puisse faire confiance pour des années à venir. Seulement, le premier pas à faire pour être aimée, c’est de ne plus se détester. Et ça… elle est encore loin d’y arriver. ♠ Et les autres dans tout ça. La méfiance gouverne les cœurs en ces temps troublés. C’est donc plus par habitude et par respect qu’elle se tient généralement à l’écart des autres. Ne voulant pas risquer d’offusquer quelqu’un, elle se contente de tendre la main à ceux qui veulent bien accepter l’aide d’une Inquisitrice. Vivant sur les routes, un peu comme ces Rôdeurs que beaucoup regardent de travers, elle s’efforce d’en apprendre plus sur les villes qu’elle découvre. En cinq ans, elle a eu le temps de voir énormément de choses. Amicale sans pour autant être totalement ouverte, elle a lié des amitiés avec quelques personnes qui ont pris une place importante dans son cœur. Mais elle s’est aussi fait pas mal d’ennemis, au grand dam de Say’l qui ne dort plus que d’une oreille et d’un œil. Elle a tendance à se méfier des Sorciers, sans pour autant leur vouer une quelconque haine. Les personnes qui attirent le plus rapidement son respect sont certainement les soldats en tout genre et… Les Dragonniers. Etant née à Rocrouge, elle a vite compris que sans eux son village aurait disparu de la carte et les admire grandement. - Spoiler:
♠ Inquisitrices : elles sont semblables à elle, elles la comprennent ; relations amicales pour la plupart, sauf cas exceptionnels. ♠ Dessinateurs : ils l’intéressent parce qu’elle n’en n’a rencontré que très peu durant ces cinq dernières années, le fait qu’elle aurait aimé savoir dessiner ajoute sans doute à ça ; relations neutres, voire amicale ou respectueuses. ♠ Devins : se considérant maîtresse de sa destinée, la belle ne sait pas vraiment comment se comporter avec eux ; ses relations restent donc neutres, généralement. ♠ Dragonniers : elle vient de Rocrouge, et a donc grandit sous la protection de ces derniers, elle envie leur compagnon dragon, leur liberté, le fait qu’ils puissent voler ; relations amicales pour la plupart, sauf cas exceptionnels. ♠ Druides : ils disposent de singuliers pouvoirs, qui attisent sa curiosité et créent un respect grandissant ; relations amicales ou respectueuses, bien que cela dépende du Druide. ♠ Rôdeurs : puisqu’elle vit un peu comme eux, elle ne les considère pas comme les voyous que tout le monde voient en eux ; relations neutres ou respectueuses pour la plupart. ♠ Singuliers : ils sont banals, et pourtant parviennent à se faire remarquer de différentes façons ; tout type de relations puisque tout dépend d’eux. ♠ Sorciers ; Inasmir en était un, il a trahi son peuple en le privant du « Bouclier » ; relations tendues, méfiantes, neutres.
L'humain derrière la légende Pseudo : Jess. Âge : Dix-huit ans. Sexe : Féminin, jusqu'à preuve du contraire. Comment avez vous découvert le forum ? Par Merion ! Ce que vous aimeriez dire pour conclure : JE VOUS AIME TOUSSEUUUUH ! Et pour les crédits c'est par ici
Dernière édition par Teresa Hywel le Mer 08 Déc 2010, 20:02, édité 27 fois |
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| Sujet: Re: HYWEL ▬ « j'oppose mes rêves à tes armes : lequel de nous deux est le plus fort ? » Dim 05 Déc 2010, 20:10 | |
| « Mais comment a-t-on pu en arriver là ? » De nos jours, routes Oubliées, Bairr Bán.
« Tu devrais manger un peu. » « Je n’ai pas faim. » « Ne fais pas ta mauvaise tête, Resa. »
Mon regard le plus noir lui fit comprendre qu’il n’avait pas intérêt à continuer. Il étouffa un bref rire amusé, cachant son hilarité soudaine en remuant les braises rougeoyantes à l’aide d’un long morceau de bois calciné. Inspirant profondément, je me laissais brusquement tomber en arrière, mon dos heurtant avec un bruit mat l’épaisse couverture laineuse qui me servirait de lit pour la nuit. Le ciel étoilé me donnait toujours un sentiment de nostalgie étrange que je n’arrivais pas à combattre, ni à étouffer. Je fermais les paupières, maudissant la nuit qui nous entourait. Say’l à côté de moi, je ne craignais rien ; il m’avait habitué à sentir le danger assez tôt pour que l’on puisse décamper. Mais il ne pouvait rien faire contre mes propres démons.
« Tu dors ? »
Question idiote. Je ne répondis pas, essayant sans grand succès de réprimer mes souvenirs. Quel crétin, celui-là.
FLASH BACK Treize ans plus tôt, village de Rocrouge, Bairr Bán.
Teresa ramassa un peu de terre qu’elle mit dans un bol en terre cuite. L’eau qu’elle rajouta par-dessus la rendit malléable, permettant à l’enfant de jouer tranquillement. Qui ne s’était pas déjà amusé à faire de la cuisine en mélangeant de la poussière avec d’autres éléments tous plus improbables les uns que les autres et n’avait tenté de faire manger cette « nourriture » à quelqu’un à l’aide d’un adorable sourire angélique ? La fillette observa d’un air satisfait la bouillie qu’elle venait de confectionner avec ses petites mains maladroites, puis se releva vivement pour se diriger en trottinant vers la maison familiale. La dernière étape était de réussir à faire cuire le mélange douteux dans le foyer où sa mère cuisinait habituellement. L’opération se révèlerait sans nul doute difficile, puisqu’elle était sans cesse dans les parages, mais finalement elle devrait réussir… et puis, elle ne pourrait pas résister à un gâteau comme celui-ci, n’est-ce pas ? Sur le chemin, elle récolta quelques gravillons qui feraient office de petites mûres, lesquelles donneraient plus de goût à l’ensemble. Sa longue chevelure brune voletant au gré du vent, Resa poussa la simple porte de bois qui menait chez elle. Une chaleur réconfortante l’accueillit, suivie de près par la voix puissante d’Ana.
« Rei, c’est toi ? » « Je suis rentréééée ! » « J’entends ça. Tu peux venir m’aider à secouer les draps ? » « … J’arrive, mère ! »
Un rapide coup d’œil vers les chambres permit à l’enfant de s’assurer que sa génitrice ne la verrait pas faire. Elle se précipita dans la cuisine, posa le bol près de l’âtre et s’empressa de nettoyer la boue qui restait collée sur ses mains dans le broc d’eau froide posé à côté.
« Teresa ? » « J’arrive ! » « Dépêche-toi un peu. » la gronda-t-elle.
Ana jeta un regard inquisiteur sur la silhouette qui se dessinait dans l’encadrement de la porte. De la longue tresse qu’elle avait faite à sa fille, il ne restait plus rien. A jouer dans la terre, elle avait sali sa robe de laine, son visage pâle était devenu marron et ses genoux étaient écorchés à différents endroits. Mais elle souriait de toutes ses dents. La femme plissa les yeux, forte de ce sixième sens qu’ont les mères et qui leur sert à détecter les bêtises de leur progéniture.
« Tu as encore joué dehors. » « Oui… Mais, regarde, j’ai les mains toutes propres ! Je peux t’aider à secouer les draps. » « Propres, oui, mais pas sèches. Tiens, essuie-les. »
Resa se saisit du torchon que lui tendait sa mère, se frictionna les mains et le posa sur la malle qui contenait tous leurs vêtements. Puis elle prêta main-forte à Ana pour le reste de la journée. Ce n’est que lorsque la nuit se mit à tomber qu’elles purent enfin se reposer. Teresa, en tout cas. La petite fille prit place près du feu qui brûlait doucement, réchauffant son corps frêle qui avait été soumis à la fraîcheur de la soirée naissante, et surveilla d’un œil attentif les allées et venues de sa mère. Jusqu’à ce que cette dernière s’exclame haut et fort :
« Resa, qu’est-ce que c’est que … ça ? » « Un gâteau, mère ! »
Qu’est-ce qui retint la moue de dégoût de la femme à la vue de la pâtisserie préparée par l’enfant ? Sans doute le regard rempli d’espoir qu’elle lui lança, un regard qui voulait dire « regarde, maman, j’ai fait ça pour toi, tu aimes ? ». Un regard qui attendait des félicitations.
« C’est, euh, c’est… Enfin, ça a l’air très bon ! » « Tu vas en manger ? » « Je… euh, non. » « Mais pourquoi ? Pourquoi tu n’en manges pas si ça a l’air bon ? »
Ses yeux couleur d’ambre se teintèrent de tristesse, de grosses larmes menaçantes s’y formant soudain.
« Parce que j’ai autre chose, et que je ne vais pas le manger toute seule. » ajouta mystérieusement Ana. « Joyeux anniversaire, Teresa ! »
Le véritable gâteau caché sous un tissu humide eut l’effet escompté. Il fut dévoré aussi vite qu’il était apparu, sous les coups de fourchette affamés de la fillette, alors âgée d'à peine dix ans.
Dix ans plus tôt, village de Rocrouge, Bairr Bán.
« Ta mère n’est qu’une sale catin ! »
Lorsque l’on a treize ans et que l’un de vos camarades vous lance ça, le ton véhément et le regard mauvais, on pense tout de suite que c’est faux. C’est la colère, qui l’a fait parler, n’est-ce pas ? Ce n’est rien que parce que vous avez refusé de jouer avec lui deux fois de suite, n’est-ce pas ? Néanmoins, vous ressentez une part de vérité dans cette insulte, et la graine du doute est maintenant bien enfouie en vous. Les jours passent, vous vous réconciliez avec votre ami(e), tout semble rentrer dans l’ordre… Mais ce doute, cet incroyable doute inquiétant, lui, reste. Il vous ronge jusqu’à ce que vous vous décidiez à poser la question. Dès que vous croisez le regard maternel de votre génitrice, vous ne pouvez pas vous empêcher d’essayer d’y voir une réponse, un indice qui vous aiguillerait sur ce que vous devez penser à son sujet.
« Mère, c’est quoi une catin ? »
Ou alors, vous tentez de prêcher le faux pour savoir le vrai. Parce qu'au fond, ça expliquerait beaucoup de choses si c'était vrai : notamment le fait que vous soyez l'une des rares enfants de Rocrouge dont le père n'est ni mort au combat, ni présent. Il est juste absent, et on ne le mentionne jamais.
« Euh… Une catin, c’est une femme qui vend son corps… » « Elle prête son corps à des gens ? » « Oui… » « Mais à quoi ça peut leur servir ? » « Tu comprendras quand tu seras plus âgée, Resa. » « Et si je ne veux pas attendre pour savoir ? Tu sais, on m’a dit que t’étais une catin ! »
Ana hésite, ne sachant comment réagir. Cependant une part d’elle la pousse à vouloir cacher ce fait honteux. Elle détourne le regard vers l’assiette vide, dont elle racle les bords afin de se donner contenance.
« Si je l’ai fait… C’était il y a longtemps. » « Je ne comprends pas… Tu disais avoir été courtisane ! Ce n’est pas être une dame de la cour ? » « En quelque sorte… »
Elle mentait. Transpirante de mensonge, elle s’efforçait de donner plus de gloire à ce qu’elle avait été afin que sa fille ne la renie pas. Teresa fronça les sourcils, inconsciente que ce sentiment qu’elle avait n’était pas normal pour une enfant de treize ans.
« Tu mens. »
La femme sursauta, lâchant la cuillère en bois qui émit un bruit mat en heurtant la table.
« Non, je… » « Tu mens encore. » constata platement la jeune fille. « … Comment le sais-tu ? » « Je le sais, c’est tout. »
Le début du cauchemar.
FIN DU FLASH BACK De nos jours, routes Oubliées, Bairr Bán.
Je grogne de mécontentement à ces souvenirs et me redresse avec une brusquerie telle que je sens Say’l sursauter. Il regarde autour de lui, avant de poser son regard sur moi. L’ombre d’un sourire amusé fait tressaillir ses lèvres. J’ai de plus en plus envie de le frapper, maintenant.
« Alors, princesse, on fait des cauchemars ? »
Le menton relevé, j’entreprends de nouer ma longue chevelure brune en une tresse quasi-parfaite avant de l’attacher à l’aide d’une lanière de cuir. Une fois ma coiffure terminée, je me relève et, à l’aide de mes pieds, recouvre les cendres rougeoyantes de terre.
« Debout, on part. » « Et voilà, tu t’es encore levée du pied gauche. »
Saleté de mercenaire mal embouché.
- Spoiler:
Si vous fouillez un peu, vous pourrez sans doute trouver une liasse de missives enfouie au plus profond d’une des fontes accrochées à la monture de Teresa. Elles vous renseigneront un peu plus sur le passé de la jeune femme et ses anciennes relations.
De Dasnae Faroncorn, Singulière, à Teresa Hywel, Inquisitrice.
« Ma chère Resa,
Comment se passe ton apprentissage au Temple des Inquisitrices ? J’ai ouï dire que c’était loin d’être de tout repos. Mais au moins là-bas, tu es logée et nourrie sans que cela ne doive être payé. Je trouve que ton écriture s’est améliorée : prends-tu des cours ? Allons, racontes-moi ! De mon côté, la vie est d’une banalité affligeante. Ma mère rend parfois visite à la tienne, afin de lui apporter un peu de soutien. Je n’ai rien de plus à t’apprendre que tu ne sais déjà : quand elle a appris ce que tu étais, ça l’a plongée dans un profond désarroi. Néanmoins je suis certaine qu’elle t’aime toujours autant, sois en sûre. Nous n’avons pas de nouvelles de Merion. Je me demande pourquoi, chaque matin, j’espère recevoir une lettre de lui ou de notre père… Cela va faire des années qu’ils sont partis ensembles… Cependant, je ne peux oublier que j’ai, non loin, un frère à peine plus vieux que toi. Mais j’y pense ! Tu pourrais peut-être le rencontrer, maintenant que tu es devenue Inquisitrice, non ?
Avec toute mon amitié, Dasnae Faroncorn.
Post-Scriptum : Joyeux anniversaire ! »
De Teresa Hywel, Inquisitrice, à Dasnae Faroncorn, Singulière.
« Dasnae,
Combien de fois devrais-je te répéter que je ne suis pas encore une Inquisitrice accomplie ? De toute façon, d’après ce que j’ai compris, mieux vaudrait pour moi que je ne franchisse plus jamais les portes de Cathairfál. Les personnes comme moi ne sont pas très appréciées dans les contrées situées en-dehors de la ville. Une amie m’apprend à perfectionner mon style d’écriture, afin de rendre mes lettres plus lisibles. Tu te souviens qu’avant tu peinais à déchiffrer les gribouillis produits par ma plume ? Et bien maintenant, vois et admire. Je suis apparemment une élève assidue. Ma mère ne m’a pas envoyé de lettre pour mon anniversaire. Cela te semble-t-il suffisant, comme preuve de son amour ? Pourtant je n’arrive pas à lui en vouloir ; pis, même : je la comprends. J’imagine le choc qu’elle a dû ressentir lorsqu’on lui a officiellement apprit que son unique fille était un monstre. J’aurais certainement agit de façon semblable, à sa place. Merion. Je tâcherais de me souvenir de son prénom s’il venait à Cathairfál. Néanmoins il y a peu de chances que nos chemins se croisent, tâche de t’en souvenir, mon amie.
Resa. »
De Teresa Hywel, Inquisitrice, à Ana Hywel, Singulière.
« Mère,
J’espère que tu te portes bien. Mon apprentissage se passe sans encombre. Si tu le désires, je pourrais revenir auprès de toi à mes dix-huit ans, ou un peu avant. Réponds-moi, et je saurais que tu es d’accord.
Ta fille, Resa. »
De Dasnae Faroncorn, Singulière, à Teresa Hywel, Inquisitrice.
« Chère Teresa,
Alors ? Ton seizième anniversaire approche, tu sais ! J’aurais aimé que l’on se voie, afin que je constate de mes propres yeux à quel point tu as grandis et tu t’es embellie. Les jours passent et se ressemblent à Rocrouge. Dis-moi, as-tu pu croiser le célèbre sorcier Inasmir ? Quelle joie tu dois ressentir, parfois, en te disant que tu es si proche de lui… J’aimerai avoir ta chance. Si je t’ai écrit plus tôt ce mois-ci, c’est pour t’apprendre une grande nouvelle. Merion est venu ! Je n’aurais jamais pensé qu’il le ferait. Il est venu passer son dernier anniversaire en tant qu’apprenti. Il a beaucoup grandit, et il est devenu un jeune homme des plus séduisants ! Tu vas rire, mais je suis certaine qu’il te plairait. Cependant, il n’a pas pu rester très longtemps. Ma mère en a eu le cœur déchiré de le voir de nouveau s’en aller. Surtout qu’il va passer l’Epreuve… Tu sais, celle que tous les Dragonniers doivent passer afin d’être confirmés. J’ai si peur pour lui…
Bien à toi, Dasnae Faroncorn. »
De Teresa Hywel, Inquisitrice, à Dasnae Faroncorn, Singulière.
« Dasnae, mon amie,
Ton frère est venu ? C’est un grand évènement ! Moi aussi, j’aurais aimé le voir… Enfin, n’interprète pas mes paroles à ta façon ! Je n’ai nullement suggéré qu’il m’aurait plu, juste que j’aurais aimé faire sa connaissance. Je pense que je m’y fais, en fait. A ma condition d’Inquisitrice. Ce n’était pas facile au début, surtout avec… ce pouvoir de soumission… Mais grâce à toutes ces femmes formidables qui partagent mon existence, j’arrive à espérer de lendemains meilleurs. Qui sait ? Dans un an ou deux, je pourrais sans doute te rendre visite.
Resa. »
De Tomias Laven, Singulier, à Teresa Hywel, Inquisitrice.
« Mademoiselle Hywel,
Mon maître, dont je tairais le nom, m’a chargé de vous transmettre ce billet ainsi que le coffret que je vous ai fait porter. Les années n’ont pas été clémentes avec lui, mais il s’est souvenu de vous et a tenu à vous faire bénéficier de sa fortune – conséquente, on doit l’avouer. D’autres transports seront d’ailleurs à envisager afin que vous puissiez avoir tout ce qui était convenu. Il a essayé de contacter votre mère, Ana Hywel, mais n’a pas eu de nouvelles ; grâce à Eydis, il a pu retrouver votre trace au Temple des Inquisitrices. Si vous n’avez pas encore comprit, sachez que mon maître et seigneur a… fréquenté votre mère, ce qui a amené à votre naissance. Il est certain d’être votre père, or n’ayant pas d’héritiers pour lui succéder et aucun lointain cousin digne de confiance à qui confier ses biens… Vous conviendrez, ma dame, de la bonté dont a fait preuve mon maître, je l’espère.
Bien à vous, Tomias Laven. »
Dernière édition par Teresa Hywel le Mar 07 Déc 2010, 19:19, édité 12 fois |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: HYWEL ▬ « j'oppose mes rêves à tes armes : lequel de nous deux est le plus fort ? » Dim 05 Déc 2010, 20:11 | |
| Bienvenue à toi! Bonne chance pour ta fiche! Inquisitrice, il ne me semble pas que nous en ayons!^^ |
| | | Madwyn Dinaflet
▬ Contributions à l'histoire : 1982
| Sujet: Re: HYWEL ▬ « j'oppose mes rêves à tes armes : lequel de nous deux est le plus fort ? » Dim 05 Déc 2010, 20:12 | |
| Jess !? welcome |
| | | Invité Invité
| | | | Madwyn Dinaflet
▬ Contributions à l'histoire : 1982
| Sujet: Re: HYWEL ▬ « j'oppose mes rêves à tes armes : lequel de nous deux est le plus fort ? » Dim 05 Déc 2010, 20:21 | |
| Hum... entre les deux je saurais pas conseiller Oui on se connaît |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: HYWEL ▬ « j'oppose mes rêves à tes armes : lequel de nous deux est le plus fort ? » Dim 05 Déc 2010, 20:21 | |
| Bienvenue. (: Je pense aussi Inquisitrice. |
| | | Jullanar Osgrey
▬ Contributions à l'histoire : 4794
| Sujet: Re: HYWEL ▬ « j'oppose mes rêves à tes armes : lequel de nous deux est le plus fort ? » Dim 05 Déc 2010, 20:25 | |
| Je vote Inquistrice également, je vois bien Odette dans un tel rôle. Et, au passage, bienvenue ! |
| | | Invité Invité
| | | | Invité Invité
| Sujet: Re: HYWEL ▬ « j'oppose mes rêves à tes armes : lequel de nous deux est le plus fort ? » Dim 05 Déc 2010, 20:39 | |
| Bienvenue sur le forum! Je te réserve Odette Yussman (kellébel!) pour 15 jours et je te souhaite bon courage pour ta fiche.
Cela dit : je vote inquisitrice. |
| | | Madwyn Dinaflet
▬ Contributions à l'histoire : 1982
| Sujet: Re: HYWEL ▬ « j'oppose mes rêves à tes armes : lequel de nous deux est le plus fort ? » Dim 05 Déc 2010, 20:49 | |
| Han je boude alors et je me range à l'avis de tous, inquisitrice |
| | | L'Archiviste Ceci est un test
Citation : ▬ Contributions à l'histoire : 3268
| Sujet: Re: HYWEL ▬ « j'oppose mes rêves à tes armes : lequel de nous deux est le plus fort ? » Dim 05 Déc 2010, 20:57 | |
| Rholala ton avatar est juste sublime ! Bienvenue sur le forum *-* |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: HYWEL ▬ « j'oppose mes rêves à tes armes : lequel de nous deux est le plus fort ? » Dim 05 Déc 2010, 21:06 | |
| Mon choix est fait, mes mignons ! Ce sera donc une Inquisitrice, merci à tous pour vos petits votes ♥
Madwyn ▬ m'enfin ! xD je viens à peine d'arriver que je me fais bouder par un méchant... qu'ai-je fais pour mériter ça ? xD ... Zaz ? xD *tente*
Merci Elvire ! Faut remercier Lyssa - LipsLikeAMorphine - pour ces avatars sublimes. Elle doit avoir un don, c'pas possible autrement. ♥ |
| | | Madwyn Dinaflet
▬ Contributions à l'histoire : 1982
| Sujet: Re: HYWEL ▬ « j'oppose mes rêves à tes armes : lequel de nous deux est le plus fort ? » Dim 05 Déc 2010, 21:14 | |
| |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: HYWEL ▬ « j'oppose mes rêves à tes armes : lequel de nous deux est le plus fort ? » Dim 05 Déc 2010, 21:19 | |
| |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: HYWEL ▬ « j'oppose mes rêves à tes armes : lequel de nous deux est le plus fort ? » Dim 05 Déc 2010, 21:41 | |
| Je suis contente de voir que tu as choisis une Inquisitrice! Bonne chance!! |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: HYWEL ▬ « j'oppose mes rêves à tes armes : lequel de nous deux est le plus fort ? » Dim 05 Déc 2010, 21:41 | |
| Bienvenue ici! Bonne chance pour la fiche et je vote aussi pour inquisitrice, physiquement elle fait plus inquisitrice que rôdeuse... opinion personnel, enh! O_o |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: HYWEL ▬ « j'oppose mes rêves à tes armes : lequel de nous deux est le plus fort ? » Lun 06 Déc 2010, 17:37 | |
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: HYWEL ▬ « j'oppose mes rêves à tes armes : lequel de nous deux est le plus fort ? » Mar 07 Déc 2010, 00:49 | |
| D'accord, pas de problème et pas besoin de me supplier (quoi que je me sens aimé...). xD Encore bonne, euh... expérience de remplissage de fiche. |
| | | Invité Invité
| | | | Invité Invité
| Sujet: Re: HYWEL ▬ « j'oppose mes rêves à tes armes : lequel de nous deux est le plus fort ? » Mar 07 Déc 2010, 21:08 | |
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: HYWEL ▬ « j'oppose mes rêves à tes armes : lequel de nous deux est le plus fort ? » Mar 07 Déc 2010, 21:12 | |
| Merci beaucoup Niethen ! ♥ (étant une fan inconditionnelle de Bradley, surtout depuis son rôle dans Merlin à vrai dire, et adorant ton personnage ainsi que ta façon d'écrire, je ne peux qu'être flattée de tes compliments et que tu veuilles un lien.)
Allez, zou, à l'assaut de ma fiche de liens ! Qui est déjà toute prête. xD |
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| Sujet: Re: HYWEL ▬ « j'oppose mes rêves à tes armes : lequel de nous deux est le plus fort ? » | |
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| | | | HYWEL ▬ « j'oppose mes rêves à tes armes : lequel de nous deux est le plus fort ? » | |
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