TANITH; « For your sake, I hope you're telling the truth »

Tanith est désormais âgée de vingt-six ans, c'est une sorcière accomplie, horriblement puissante, mais qui fort malheureusement, ne saisit pas tout à fait l'ampleur de sa puissance. Elle tendance à de plus en plus tendance à défier Vorlun, impatiente de se venger du peuple de singulier et du Roi, qu'elle considère responsable de tous ses malheurs. De plus en plus difficile à contenir, toutefois, sa vie est sur le point de basculer;



Ayant saisit l'opportunité de quitter la forteresse, Tanith accompagne quelque temps les voyageurs. Elle se lasse rapidement de leur présence, cependant, et décide d'entreprendre la suite du voyage seule. Arrivée à la capitale, l'hiver fait toujours rage sur Lanriel et Tanith décide de s'y établir quelques temps afin d'apprivoiser son nouvel environnement.




De nouvelles rencontres s'ajoutent au tableau de la Sorcière. Elle rencontre, notamment, plusieurs autres sorciers. Une rencontre, en particulier, la marque profondément.




Cette rencontre aura également de fortes répercutions sur la Sorcière qui, dès lors, se reconnaîtra un côté foncièrement mauvais et obscur. Elle entreprendra alors qu'elle attentat contre la cours royale, comme si l’effervescence des derniers jours lui avait fait momentanément oubliée la lourde éducation qui pesait sur ses épaules. Elle se trouvera mêler à plusieurs crimes contre la couronne; elle dérobera un cheval dans l'enceinte d'une cours royale, elle gèlera volontairement l'eau d'un puits et sera l'unique responsable de la mort prématurée de plusieurs chevaliers. Toujours anonyme aux yeux des autorités, comme elle parvient toujours à s'échapper avant de n'être identifiée, elle sait néanmoins que le temps joue contre elle. C'est donc par une triste matinée de cet hiver sans fin que Tanith s’apprêtait à quitter la ville pour de bon. Mystérieusement, ses pieds la conduisent ailleurs...




Le retour inespéré de cet ami oublié lui donne également de nouveau regain de mémoire et l'afflux de souvenirs est si bouleversant que Tanith prolonge son séjour à la capitale. Elle s'amourache secrètement de Brawyn et deviendra rapidement son amante. Il l'hébergera pendant quelques temps, leur amour illégal prenant de plus en plus d'ampleur. Peu à peu, Tanith se voit rappeler à l'ordre et, apeurée de voir cette idylle devenir plus concrète, elle quitte Brawyn sans préavis, le cœur déchiré. Il lui vient alors l’écho d'une célébration, autre part, pour célébrer le retour du printemps. LES FEUX DE BELTANE



Peu satisfaite du résultat de cette fête, Tanith rentre bredouille à la capitale. La Sorcière songe à refaire quelques prévisions avant de retourner à Mogarór. Entre temps, les autorités de la couronne ont pu dresser un portrait de la responsable des dernières perturbations au cœur de la ville. Fort malheureusement pour Tanith, elle est rapidement prise en chasse par les chevaliers. Il lui faut rapidement quitter la ville sans quoi elle pourrait se faire prendre...



Blessée, Tanith retourne difficilement à Mogarór. Vorlun lui interdit de faire un usage abusif de sa magie, sa vie, semble-t-il, en dépend. Elle contourne quelques fois ses indications, mais en paie chèrement le prix. Sa blessure tarde à guérir malgré les onguents et les pommades que lui suggère son mentor. Malgré tout, recluse dans sa forteresse, elle pense être en sécurité et ne songe pas à de plus amples mesures de défenses... Elle n'aurait pas dû négliger ses détails...



Motivée par des idées étranges, probablement murmuré par Vorlun, Tanith rejoint l'étang des morts pour y jeter un objet magique. Malheureusement, des créatures horribles l'attrape et l'entraîne vers le fond, impuissante. Le hasard, cependant, aura fait en sorte que ses cris ne soient pas vainement entendus...



Des jours s'écoulent depuis cette rencontre pendant lesquels la Sorcière tente de nouveau de guérir sa plaie. Sans résultat, elle décide d'arpenter son territoire, lasse de fort ses efforts infructueux...



La dernière rencontre de Tanith l'a pousse irrévocablement à entreprendre de nouvelles recherches au sein de la forteresse. Il lui semble que de nouveaux secrets s'ouvrent à elle et elle est impatiente de les découvrir. Arpentant de jours en jours le territoire de la forteresse à la recherche d'indices ou d'indications, elle trouve, finalement, une énorme brèche dans le mur des cachots. Son instinct lui crie d'y pénétrer, cependant, Vorlun, plus avisé et sage, lui suggère de patienter encore quelques jours. Cette expédition s'annonce dangereuse et, compte tenu de son état qui ne cesse de se dégrader, il est tout dans son intérêt de se faire rejoindre par d'autres voyageurs. Ainsi convoque-t-elle des personnes qu'elle aura brièvement rencontrées au cours de son parcours. Si les raisons de leur invitation leur semble obscur et mystérieuse, cependant, la récompense leur est fort alléchante: en échange de leurs présences, Tanith leur offrira de l'or qui, semble-t-il, se trouverait enfouie sous les catacombes qu'ils s'apprêtent à explorer. L'aventure s'annoncer bien plus lourde de conséquences qu'ils ne le songent tous...



Fort satisfaite des répercutions qu'annonce les suites de cette expédition, Tanith envoie une massive en toute hâte à un allié de longue date, haut dans son estime. Celui-ci se manifeste rapidement et ils échangent brièvement sur le sujet; il viendra également lui suggérer de nouveaux traitements pour soigner sa plaie.



Quelques jours seulement après l'expédition, Tanith songe à quitter la forteresse pour rejoindre Ithel à Noristana afin de lui faire part de ses nouvelles découvertes. Inexplicablement, elle est interrompue dans son élan par une troupe de chevalier, venu vraisemblablement pour l'arrêter et l'amener sous l'autorité du Roi pour y être jugée. Une lutte sans merci commence alors pour la sauvegarde de sa survie.



Capturée, lamentablement blessée par les évènements survenus à la forteresse, Tanith est conduite jusqu'à la capitale. On l'a jette ensuite dans les cachots, elle doit patienter jusqu'au procès qui lui est dû. Elle recevra très peu de visite, l’unique en fait, lui fut plus pénible qu'horrible.