| | Ysillyra Narejar. Je suis le fardeau de tes nuits, le fantôme qui hante tes rêves, douce culpabilité. | |
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Invité Invité
| Sujet: Ysillyra Narejar. Je suis le fardeau de tes nuits, le fantôme qui hante tes rêves, douce culpabilité. Mar 26 Juin 2012, 22:26 | |
| Every great story
has a beginning credit Et la mienne commence ici ▬ Par le nom que je porte, Ysillyra Narejar ▬ Par mon lieu de naissance, Cathairfal, Perllan ▬ Mon âge, 24 ans ▬ La personne que je suis, Inquisitrice ▬ Et les responsabilités qui vont avec : j'essaye de rendre la justice autant que possible même si je préfère de loin la compagnie des animaux ou de mes soeurs à celle des hommes ▬ J'ai voué ma loyauté indéfectible la déesse Eydis, mes soeurs et en la justice pure ▬ Miroir, mon beau miroir Freida Pinto. Votre besace Ysillyra ne porte pas grand chose avec elle puisqu'elle vit en ville et trouve généralement ce qu'il lui faut là ù elle va. Cependant, elle est pratiquement toujours vêtue sobrement, le visage et le corps recouvert d'une cape longue à capuchon de couleur terreuse. A sa ceinture, elle conserve une dague qui n'a rien de particulier mais qui peut s'avérer utile pour se défendre ou pour d'autres choses. Elle porte aussi souvent une petite besace de cuir en bandoulière qui contient une fiole de potion de regain d'énergie et quelques plantes médicinales. Juste au cas où. L'humain derrière la légende - Spoiler:
Pseudo : Marie Âge : 19 ans Sexe : Féminin Comment avez vous découvert le forum? En fait, j'ai pris un scénario mais la personne concernée par le scénario est absente jusque fin août et sans réponse d'elle, je ne peux malheureusement pas écrire mon histoire. Ce pour quoi je décide de commencer par Ysillyra avant de pouvoir commencer Myrna ce qui ne risque pas d'être le cas avant un temps. Ce que vous aimeriez dire pour conclure : Ne me tapez pas sur les doigts, j'aime ce forum.
Et pour les crédits c'est par ici
Dernière édition par Ysillyra Narejar le Mar 26 Juin 2012, 22:43, édité 2 fois |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Ysillyra Narejar. Je suis le fardeau de tes nuits, le fantôme qui hante tes rêves, douce culpabilité. Mar 26 Juin 2012, 22:26 | |
| « Mais comment a-t-on pu en arriver là? » DITES NOUS TOUT Lettre adressée à Erriel Sirwe, Mère Inquisitrice Hiver, an vingt-trois, deuxième âgeMère Inquisitrice, Je ne sais plus quoi penser ni quoi faire. Je pensais que la vie serait différente de celle que j'ai jusqu'alors connu après mon initiation. Voilà plusieurs semaines que j'ai pu quitter le temple pour arpenter la ville et le regard des gens est si différent à mon égard. Depuis que j'ai pour la première fois rendu la justice à Perllan, ceux qui étaient mes voisins, mes amis, se détournent de moi, s'écartent sur mon passage. Aucun d'eux n'osent plus m'adresser la parole de peur de me dissimuler quelque chose. Je ne puis supporter cette situation et pourtant, elle ne peut être changée. Mais même ma famille me tourne le dos. Vous le savez, nous venons d'un milieu rural et la découverte de mon pouvoir a d'abord été considérée comme une bénédiction d'Eydis sur notre maison. Peu importe ce que les autres en pensent, je continue à le voir comme elle. Elle m'a donné la vue, celle qui va plus loin que les apparences et pour cela, je lui en serais éternellement reconnaissante. Mais ma mère ne me parle plus. J'ai tenté d'ouvrir le dialogue avec mon père, sans plus de succès. Que faut-il faire pour qu'ils arrêtent de me craindre ? J'ai juré de ne pas utiliser mon pouvoir sur eux si ce n'était pas nécessaire mais ils craignent que je puisse sonder leur âme pour extraire d'eux leurs moindres secrets. J'ai peur. Peur de ne pas pouvoir supporter cette situation. Faut-il se couper des siens pour devenir une servante de la Justice ? Suis-je condamnée à être dans la solitude pour toujours ? Est-ce le prix à payer pour endosser les responsabilités d'Eydis. Aidez-moi à y voir clair, mon esprit se trouble.
Ysillyra. Lettre adressée à Aranka, Mère Inquisitrice Printemps, an vingt-sept deuxième âgeMère Inquisitrice, Je commence enfin à comprendre et à réaliser l'ampleur de notre tâche. Si le pèlerinage nous enseigne la sagesse de la Justice et ses formes diverses de la rendre, seule l'expérience fait office d'un savoir. Les hommes ont besoin de nous. Ce n'est pas en vain qu'Eydis nous a doté de cette vue extraordinaire. Leur perception des choses est si faible, si infime. Ils ne peuvent être impartiaux ou comprendre ce que la Justice doit être. Leur nature est si différente de la notre, ils n'ont pas notre savoir. Sommes-nous vraiment issus de la même souche ? Par moment j'en doute. Une chose m'apparaît comme certaine aujourd'hui. Sans nous, ils courraient droit au chaos.
Ysillyra. Lettre adressée à Aranka, Mère Inquisitrice Automne, an vingt-neuf deuxième âgeMère Inquisitrice, Je suis perdue. Je ne sais comment nous pouvons joindre nos pouvoirs à nos sentiments. Il m'a été impossible de me protéger contre les ravages de ma part humaine. Cet homme … peu importe son nom, peu importe qui il était. J'ai cru que son cœur était pur, aussi pur que celui des chevaux qui arpentent les champs de Perllan. Je n'ai jamais pu utiliser mon pouvoir sur lui, je ne le pouvais pas, je ne le voulais pas. J'ai voulu y croire, croire dans le genre humaine. Espérer qu'ils étaient bien plus que des êtres aveuglés par leur volonté propre. Je me suis trompée. Je n'aurais pas du. Il a disparu dans la nature. Voilà des semaines que j'arpente la ville à sa recherche mais personne ne reconnaît son nom. Par moment, il m'arrive même de croire que ce n'était qu'un rêve, un rêve évanoui au sortir du lit. Mais tout cela semblait si réel, et la douleur qui m'habite à présent ne l'est que plus. J'ai fait une erreur, j'aurais dû lire dans son âme, y voir le mensonge que chaque homme porte en lui. Celui d'affirmer une vérité là où il n'y a que mensonge, que trahison. Je ne saurais jamais qui il était vraiment et je ne sais même pas expliquer pourquoi cette douleur continue à m'habiter. Je voudrais la faire disparaître mais j'en suis incapable. Comment accepter cette réalité, que nous restons désespérément humaines malgré notre charge ?
Ysillyra. Marché de Perllan, printemps, an trente, deuxième âgeLa cape terreuse arpentait les allées, comme portée par une force inconnue et mystérieuse, légère comme la brise. Ses pas ne faisaient presque aucun bruit en foulant le sable séparant une étale de l'autre. Le regard baissé, presque invisible sous l'épais capuchon qui la recouvrait, elle avait. Si il avait fait nuit, personne n'aurait remarqué que quelqu'un passait par là tant le silence qui émanait d'elle la rendait invisible. Et pourtant, invisible elle ne pouvait l'être. Chacun savait qui elle est. Son nom arrivait parfois à ses oreilles, dans un murmure étouffé. Les gens se retournaient sur son passage, la fixaient sans parler. Elle aurait aimé pouvoir se changer en une créature minuscule et disparaître dans la fumée sableuse soulevée par les pas pressés des paysans. Quelqu'un agrippa le pan de sa cape avant qu'elle n'ait pu quitter l'endroit. Même trouver de quoi manger était devenu une plaie, impossible de ne pas être interrompu ou de ne pas être dévisagé. Si seulement elle connaissait un moyen de devenir invisible, elle s'en servirait constamment. La jeune femme posa ses yeux sur un marchant qui semblait plus hypnotisé par sa présence qu'en réelle quête de justice. La beauté naturelle et étourdissante de l'Inquisitrice ne facilitait en rien sa volonté de se fondre dans la foule même bien avant que ses pouvoirs ne lui soient révélés. « Z'êtes Inquisitrice vous non ? V'nez y a b'soin d'vous là-bas. » Alors que l'homme lui indiquait un stand où éclatait une dispute, elle suivit du regard son doigt gras et sale. Un vol sans aucun doute. Une affaire classique, surtout en ce lieu. Elle marcha dans les pas du marchand, continuant d'observer la scène. Quand elle s'introduisit au centre du cercle que formait l'attroupement, l'agitation s'évanouit aussitôt et le silence reprit ses droits. Elle rabattit son capuchon, dévoilant sa peau dorée et ses longs cheveux de jais. Un marchand s'opposait à un gamin, pas plus grand que son propre petit frère. Sans interroger l'un ou l'autre, déduisant facilement la situation, elle posa sa main sur le bras du jeune garçon. Ses yeux sombres se dilatèrent étrangement avant de se remplir entièrement de noir. « J'voulais pas m'dame. C'est pour ma p'tite sœur qu'est malade. » Le marchand dans son dos reprit ses agitations, traitant le gamin de menteur, de voleur et d'autres noms d'oiseaux mais elle n'écoutait pas. Ses yeux noirs plongés dans ceux du petit garçon, elle sondait le vrai du faux. Elle resta ainsi longuement, bien plus longtemps qu'il n'était nécessaire. Elle retira finalement sa paume de l'avant-bras gracile de l'enfant et alors que ses pupilles retrouvaient leur forme originelle, une larme roula le long de sa joue. L'Inquisitrice posa les yeux sur le sol. « Il dit vrai. » La larme s'écrasa sur le sol sableux alors qu'elle se tournait vers le marchant. Calme, sans hausser la voix, elle s'approcha de lui. Certes, sa taille n'avait rien d'imposant mais son pouvoir suffisait à se faire craindre, suffisamment pour le faire reculer de plusieurs pas. « Ses intentions sont pures et il ne ment pas. Peux-tu te vanter d'avoir un jour dû affronter les lois pour des raisons nobles comme celles de nourrir un enfant qui se meurt ? » Le marchant ne disait plus rien. Il se contentait de tenter d'échapper au regard froid de l'Inquisitrice, toujours de marbre. « Laisse le partir. Il n'a rien fait de mal. » « Mais m'dame ! C'est interdit d'voler ! » La colère s'accumulait au sein de la jeune femme d'habitude impassible. Elle s'approcha encore de quelques pas, manquant de faire tomber l'homme. « Peut-être devrions-nous nous assurer que toi non plus, tu n'as rien commis d'interdit, que tu es un innocent, pour rendre justice ? » L'homme nia vigoureusement de la tête. « Non non. C'bon, peut pas partir le mioche. » L'Inquisitrice retrouva immédiatement son calme légendaire et fit signe à l'enfant de partir. Sans un regard pour le marchant ou la foule, elle rabattit son capuchon sur sa chevelure d'ébène et reprit sa marche silencieuse vers les champs de Perllan. Lettre adressée à Aranka, Mère Inquisitrice Printemps, an trente, deuxième âgeMère Inquisitrice, Je ne sais plus quoi penser. Un événement a eu lieu aujourd'hui au marché de Perllan. Un homme a attrapé un enfant en train de lui dérober un fruit. L'enfant le réservait à sa sœur, mourante. Même lui ne résisterait pas à un hiver ou à une famine. Seule la peau dessinait son petit squelette. Je n'ai pas pu punir son vol. Pourquoi ? Il n'avait pas menti, même si son acte est interdit. Est-il pour autant en train de commettre une injustice ? L'injustice n'est-elle pas de laisser cette famille mourir de faim alors que d'autres se régalent de banquets chaque jour ? Je perds la foi entre les hommes, mère Inquisitrice. Ils n'ont que faire de la Justice que nous pourrions leur apporter. Elle ne les intéresse que si elle peut servir leurs intérêts propres. Je ne peux pas servir cela. Je n'y arrive pas. Je ne sais pas quoi faire, je ne sais plus quoi penser.
Ysillyra.
Dernière édition par Ysillyra Narejar le Mer 27 Juin 2012, 16:48, édité 4 fois |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Ysillyra Narejar. Je suis le fardeau de tes nuits, le fantôme qui hante tes rêves, douce culpabilité. Mar 26 Juin 2012, 22:27 | |
| L'interrogatoire d'Inasmir ▬ Je ne vous apprends rien en vous disant que Lanriel possède un roi, mais ce que j'aimerais savoir c'est ce que vous pensez de lui : La hiérarchie est nécessaire chez les hommes et je respecte leur façon de fonctionner, ce qui ne veut pas dire que je suis d'accord avec chaque décision prise. Cependant, ce règne est bien moins cruel que tant d'autres qu'on m'a conté par ici.▬ En parlant de seigneurs souverains, évoquons un peu les deux puissances divines de Lanriel Eydis m'a donné la vue, celle de pouvoir voir la vérité dans les yeux des hommes. Pour cela, elle a ma reconnaissance éternelle même si les tenants et aboutissants d'un tel don reste obscure. Cependant, je ne remettrais jamais en question son existence et lui suit dévoué. ▬ On a tous son petit ego et moi, Inasmir, le sorcier légendaire, n'échappe pas à ce vice. Alors répondez donc à cette question, que pensez-vous de moi? Je ne connais Inasmir que par les histoires qui m'ont été contées et par les écrits. Son pouvoir est fascinant mais je ne peux comprendre le fait d'avoir disparu, laissant les hommes à leur propre perte. Quoique par moment, je me demande moi-même si la race humaine vaut la peine d'être sauvée.▬ La chute du Bouclier aurait secoué toutes les terres mais il y a des gens que cela laisse de marbre, je serai curieux de savoir si vous êtes une de ces personnes La chute du Bouclier a été difficile pour tout un chacun. Des temps obscurs sont à venir à présent, nul ne peut prédire quelle sera notre chute et encore moins quand elle aura lieu. Mais une chose est sûre, les hommes sont laissés à leur propre moyen et selon mon expérience, la race humaine n'est vouée qu'à son auto-destruction. Les dangers ne sont pas présents qu'à l'extérieur de la ville.▬ Mais dites-moi mon ami(e), racontez-moi donc un peu ce qui fait de vous un être si exceptionnel... Je suis une Inquisitrice. Par conséquent, je suis déjà différente des autres. Mon pouvoir m'a permis de voir clair en les hommes même si je commence à perdre foi en eux et en leur avenir. J'ai de nombreux idéaux auxquels je ne peux accepter qu'on déroge et de constater qu'ils sont bafoués par l'ensemble de la race humaine me plongent dans une profonde solitude et tristesse.▬ Tous les goûts sont dans la nature, n'est-ce pas? Alors éclairez-moi donc sur les vôtres... Mes journées sont généralement occupées par quelques interventions au sein de la ville mais en dehors de ça, j'apprécie la compagnie simple des chevaux ou des oiseaux qu'on trouve dans les vergers. La compagnie des hommes ne m'intéresse plus. ▬ Tout le monde veut quelque chose, il suffit de découvrir ce que VOUS vous désirez. Je voudrais découvrir ce qui existe en dehors de la cité de Cathairfal. J'ai besoin de savoir si des hommes sont capables d'autre chose que de servir leurs propres aspirations, de voir si l'univers ne contient pas quelque chose d'autre, des êtres aux coeurs purs.▬ Et les autres dans tout ça. Je ne côtoie pas les autres. Je n'en vois plus l'intérêt, si ce n'est pour exercer mon don d'Inquisitrice. En dehors de cela, j'évite autant que possible la présence des hommes. Les seules personnes à trouver grâce à mes yeux sont mes soeurs.
Dernière édition par Ysillyra Narejar le Mar 26 Juin 2012, 23:52, édité 1 fois |
| | | Scarlett de Vinter
▬ Contributions à l'histoire : 1999
| Sujet: Re: Ysillyra Narejar. Je suis le fardeau de tes nuits, le fantôme qui hante tes rêves, douce culpabilité. Mar 26 Juin 2012, 23:44 | |
| Re-bienvenue à toi sur Echo des Plaines. Je te réserve Freida pour quinze jours. Bon courage pour ta fiche. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Ysillyra Narejar. Je suis le fardeau de tes nuits, le fantôme qui hante tes rêves, douce culpabilité. Mar 26 Juin 2012, 23:53 | |
| Merci =) En fait, je pense que j'ai terminé ma fiche. |
| | | Araëlle Sil-Emaïs
▬ Contributions à l'histoire : 357
| Sujet: Re: Ysillyra Narejar. Je suis le fardeau de tes nuits, le fantôme qui hante tes rêves, douce culpabilité. Mer 27 Juin 2012, 08:36 | |
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| | | Scarlett de Vinter
▬ Contributions à l'histoire : 1999
| Sujet: Re: Ysillyra Narejar. Je suis le fardeau de tes nuits, le fantôme qui hante tes rêves, douce culpabilité. Mer 27 Juin 2012, 09:10 | |
| Ta fiche est bonne même si il y a quelques fautes d'orthographe. Par contre Erriel n'est plus Mère Inquisitrice depuis la Chute du Bouclier. Elle a abdiqué en faveur d'Aranka à cause de la fuite de sa soeur avec Inasmir. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Ysillyra Narejar. Je suis le fardeau de tes nuits, le fantôme qui hante tes rêves, douce culpabilité. Mer 27 Juin 2012, 13:44 | |
| Ah désolée, j'ai dû m'embrouiller les pinceaux. Est-ce que je laisse la première lettre adressée à Erriel puisque dans le contexte, durant l'an vingt-trois, elle est toujours mère Inquisitrice ?
Pour les fautes d'orthographe, navrée. Je n'en fais habituellement pas et celles-ci ont vraiment dû m'échapper ... |
| | | Scarlett de Vinter
▬ Contributions à l'histoire : 1999
| Sujet: Re: Ysillyra Narejar. Je suis le fardeau de tes nuits, le fantôme qui hante tes rêves, douce culpabilité. Mer 27 Juin 2012, 14:27 | |
| Pour la première c'est bon. Je te valide. Je te souhaite un bon jeu sur le forum! Amuse-toi bien. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Ysillyra Narejar. Je suis le fardeau de tes nuits, le fantôme qui hante tes rêves, douce culpabilité. Mer 27 Juin 2012, 16:48 | |
| Cool ! Merci |
| | | Wilhelm Nyström
▬ Contributions à l'histoire : 742
| Sujet: Re: Ysillyra Narejar. Je suis le fardeau de tes nuits, le fantôme qui hante tes rêves, douce culpabilité. Mer 27 Juin 2012, 18:14 | |
| Bienvenuuuue ! |
| | | Jullanar Osgrey
▬ Contributions à l'histoire : 4794
| Sujet: Re: Ysillyra Narejar. Je suis le fardeau de tes nuits, le fantôme qui hante tes rêves, douce culpabilité. Mer 27 Juin 2012, 19:01 | |
| Oh ben dis, tu as fais vite finalement ! Re-bienvenue avec cette jeune Inquisitrice. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Ysillyra Narejar. Je suis le fardeau de tes nuits, le fantôme qui hante tes rêves, douce culpabilité. Mer 27 Juin 2012, 19:33 | |
| Oui mais l'histoire me trottait en tête alors l'écrire a été assez rapide Merci en tout cas pour l'accueil |
| | | Una Syrion
▬ Contributions à l'histoire : 3021
| Sujet: Re: Ysillyra Narejar. Je suis le fardeau de tes nuits, le fantôme qui hante tes rêves, douce culpabilité. Jeu 28 Juin 2012, 11:00 | |
| Bienvenue Excellent choix d'avatar, Freida est si jolie. J'ai beaucoup aimé ton histoire en tout cas ! C'est sympa de voir les rangs des inquisitrices se gonfler. Je te souhaite un bon jeu sur le fow ! |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Ysillyra Narejar. Je suis le fardeau de tes nuits, le fantôme qui hante tes rêves, douce culpabilité. Jeu 28 Juin 2012, 18:36 | |
| Merci beaucoup |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: Ysillyra Narejar. Je suis le fardeau de tes nuits, le fantôme qui hante tes rêves, douce culpabilité. | |
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| | | | Ysillyra Narejar. Je suis le fardeau de tes nuits, le fantôme qui hante tes rêves, douce culpabilité. | |
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