Echo des Plaines : Chapitre VII ▬ Le Retour d'Inasmir


 
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 Keidilind « Keid » Nydewald

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MessageSujet: Keidilind « Keid » Nydewald    Keidilind « Keid » Nydewald  EmptyVen 13 Mai 2011, 22:49

Every great story
has a beginning


Keidilind « Keid » Nydewald  Keid-bann

Glycérine
(Plz ré-up si reprise !!)



Et la mienne commence ici

Par le nom que je porte, Keidilind « Keid » Nydewald
Par mon lieu de naissance, Sous les glaciers de Rhewlif, village de Rieublanc.
Mon âge, vingt-huit ans.
La personne que je suis, un rôdeur.
Et les responsabilités qui vont avec : Garde-chasse, chasseur et mercenaire, quand l'envie lui prend.
J'ai voué ma loyauté indéfectible à Eydis et à la protection de l'innocence.
Miroir, mon beau miroir, voici Jamie Bell.


« Mais comment a-t-on pu en arriver là? »
DITES NOUS TOUT
…Un bruissement d’aile le réveille…
…Semblablement identique à celui qu’il vient de quitter…
…Comme le rêve peut parfois rejoindre la réalité…
Epais sont ses vêtements, mais pas imperméables malgré ça. La pluie n’est pas tombée, mais cette forêt est plus humide encore qu’une tempête en plein air. L’eau s’est imbibée, par tous les pores et interstices qu’elle a pu infiltrer. Sa tunique et sa cape, sous l’effet, enserrent son torse plus qu’à l’accoutumée et lorsqu’il prendra sa première inspiration, une fois réveillé, le voilà qui trésaille sous l’effet glacé de la pluie qui lui comprime les poumons. Mais au lieu de le geler sur place, cet étrange effet chassera les derniers lambeaux de sommeil accroché à son cerveau.

Il ouvre les yeux au son du grelot. Il fait encore nuit, mais le jour ne tardera plus. Déjà, au travers des arbres, on peut apercevoir les premières couleurs chasser l’obsidienne. Pas de nuage, pas de pluie. Bonne journée pour chevaucher… Il se redresse de sa couverture humide. Ce n’était pas le meilleur endroit pour dormir. Pas le pire non plus. Il est toujours en vie et a pu profiter de quelques heures de repos. Plus qu'il ne lui en fallait, en vérité.

Le grelot tinte à nouveau. Les ailes se déploient lentement, avant de revenir à leur état initial. Sa main s'en va fouiller la besace à la recherche d'un couteau. Couteau dont il se servira, une fois levé, pour découper un des derniers morceaux de viande pas encore faisandée de la carcasse du chevreuil abattu hier. Affamé et rachitique, il n'en reste guère alors qu'il auraît pu, dans sa meilleure forme, le contenter pour deux ou trois jours. Mais l'hiver qui n'en finit pas ne l'a pas aidé à terminer sa croissance dans les meilleures conditions et au vu de son état, il aurait déjà pu le croire mort s'il ne l'avait pas vu courir avec tant de vigueur. Eydis, parfois, il ne peut vous comprendre. Il lancera les morceaux de viande au rapace. La viande tombe sur la terre avant d'être avidement attrapée par le bec acéré dans un tintement de grelot discret.

Il essuie le couteau sur sa cuisse avant de leur retourner dans sa besace. Il roule la couverture avant de l’attacher à sa selle. Et d’une caresse bienveillante, il promet à sa monture qu’elle reposera bientôt dans un endroit plus sec et avec une nourriture plus décente que quelques brins d’herbe et de mousse humides. Ce rythme ne leur conviendra guère plus longtemps. Mais la prochaine auberge n’est qu’à une demi-journée de route. Plus que quelques heures, et ils pourront tous reprendre, frais et dispos, leur chemin vers Tuamarbh.


…Pas de passé, pas d’avenir…
…Simplement une voie tracée d’errances et de souvenirs…
IIl monta en selle et observa Kov, fier de son dernier lambeau de chair dans le gosier, déployer gracieusement ses ailes et s’envoler jusqu’à son bras. Le cuir mouillé accueilli les serres dans un léger couinement, alors que Keid en profitait pour examiner l’aile, blessée il y a longtemps. De ce fait, l’aigle des glaciers de Rhewlif ne volerait plus jamais correctement. Perclus à la suite de longues distances, moins habile à la chasse qu’il ne l’avait été jeune, il dépendait bien plus qu’il ne l’aurait voulu du rôdeur, aujourd’hui. Et si le geste pouvait paraître futile, l’espoir absent de voir l’oiseau guérir complètement, il gardait celui de ne pas voir de complications tardives ou de nouvelles blessures semblables à l'ancienne apparaître soudainement.

Quittant son petit repère, caché derrière d’énormes pierres recouvertes de mousses, c’est au pas qu’il s’avança dans la forêt à peine en éveil. La nuit perdait rapidement son emprise sur ces terres, mais ne disparaissaient pas toujours immédiatement les dangers qui s’amenaient à ses côtés. L’aigle sur l’avant bras, les reines dans l’autre main, il n’en gardait pas moins à portée son épée, accrochée solidement à sa ceinture, ou encore son arc, en travers de son dos, et dont le carquois de flèches pendait à sa selle. Voyager seul était de ses habitudes, il n’en était pas moins imprudent et inconscient d’un tel fait. A tout moment, l’une de ces monstrueuses créatures, qui harcelaient le monde depuis bien trop longtemps maintenant, pouvait lui sauter à la gorge, tuer sa monture et l’achever d’un coup d’épée. Mais chasseur il était, et rarement encore il ne s’était retrouvé en position du chassé.

Le soleil était déjà haut dans le ciel lorsqu’il aperçut le village, à l’horizon. Un horizon plat. Un horizon vide si on exceptait les chaumines qui découpaient à peine le ciel, et la fumée de leur foyers qui s’envolait jusqu’aux nuages. Ses montagnes natales étaient bien lointaines, comme un vague pressentiment dans le bleu du ciel. Si Rieublanc n’avait été que son lieu de naissance, Rhewlif avait été sa maison, son terrain de jeu et par la suite, d’entrainement intensif. Vallées enneigées, pentes escarpées, ravins traîtres et sinueux… Il y avait appris à courir, à sauter, puis à chasser. Il y avait appris à résister au froid et à survivre, avant de commencer à voyager par de là ce qu’il connaissait si bien. Il était devenu un véritable rôdeur le jour où son âme pu véritablement se détacher de ce lieu et où il fut capable de chasser si bien en plaine qu’en montagne. Mais même sa mère, après tant d’années passées à parcourir Lanriel, n’avait pu se défaire de ce petit pincement au cœur. Comment lui aurait-il pu ?

Sous l’effet du vent, un carillon d’os creux sonnait joliment. Les sabots de sa monture crissaient sur la terre gelée, recouverte d’un très fin tapis de flocons glacés, si peu qu’ils fondaient dès lors que la corne des sabots l’écrasaient, mais assez pour annoncer qu’il était temps de se trouver un abri plus sûr pour lui et son petit équipage animalier. Le temps avait si vite changé que lui-même en avait été stupéfait en cours de journée. Mais cela n’avait, heureusement, pas gâché la chasse une fois de plus. Kov s’en lissait encore les plumes de fierté.

Et il le pouvait. Car en plus de la petite demi-douzaine de peaux de bonne qualité qui reposaient par-dessus l’arrière train de son cheval, Keid avait désormais deux épais lapins suspendus au pommeau de sa selle. Soit, de bonnes raisons de plus de s’attirer la presque sympathie du village, et quelques regards moins méfiants à l’auberge. Quoi que les derniers évènements n’aidaient pas à la sympathie ces temps-ci. Moins encore envers ceux de son peuple.

Mais soit. Cela avait toujours été ainsi et il ne s’en était jamais vraiment soucié. Du moins, depuis ses sept ans, jour où sa mère était venue le chercher et l’arracher de la fauconnerie de son père, à qui elle l’avait confié dans sa prime jeunesse. Curieux de découvrir cette toute nouvelle vie, trop jeune et pourtant déjà téméraire et aventurier, il n’avait fait que de piètre au revoir à son père, trop ému que pour lui dire qu’ils ne se reverraient sans doute jamais. Le vieil homme lui avait glissé un objet dans la poche et l’avait regardé partir, trop bourru pour pleurer, pas assez pour rester de marbre néanmoins. Il ne sut jamais ce qui avait déclenché tout ça… Il imaginait, de temps en temps, que ses parents s’étaient séparés peu après sa naissance, et que sa mère, soucieuse de ne pas emmener un bébé dans les contrées sauvages de Lanriel, l’avait laissé à son père jusqu’à ce qu’il puisse la suivre… Mais les histoires les plus plausibles ne sont pas toujours les bonnes. Et sa mère ayant toujours refusé d’en parler, même à sa mort, il avait classé l’affaire dans les mystères irrésolus de ce monde.


…On lui demande son nom…
…On lui demande où il va…
…D’où il vient, pourquoi il est là…
Peu soucieux de répondre aux questions, il jette un regard et porte la cuillère de ragoût de lapin et de champignons à sa bouche. Les rôdeurs ont toujours eu mauvaise réputation auprès des « honnêtes gens », mais il y en a tout de même quelques uns qui ne voient pas forcément en eux des voyous malodorants, sales et repoussants. Mais ils n’étaient qu’une minorité, et pourtant on ne l’avait pas élevé pour changer l’esprit du monde. Eydis l’avait doté de facultés dont il se servait pour combattre, chasser et tuer les créatures maléfiques, non pour déblatérer des discours sur son peuple dans le but de changer l’opinion. Il n’aimait pas parler de lui, d’autant plus.

Sauf à ses amis. A ses confrères. A ses compagnons d’armes et de route. Ses derniers proches sur terre étaient sans conteste les rôdeurs, voyageurs et autres rencontres faites sur les routes. Ceux qui l’avaient aidé, ou ceux qu’il avait aidés. Ceux qui avaient su le toucher, quelque part, par un détail plus important que le simple fait qu’un être vivant doit être protégé et accompagné en un endroit sûr et sécurisé.

Il reprendra sa route au matin, avant même que la moitié de l’auberge n’ait eu l’idée de sortir des limbes du sommeil. Et si, comme tout homme, l’amour, la haine, la bonté et le mal ont et continuent de rythmer sa vie, ils ne rythment pas le pas de son cheval, qui lui, dans la neige, s’avance sans regarder en arrière.


Votre besace

Avec ou sans monture, Keid n’a jamais vraiment été du genre à voyager très léger, mais il est totalement capable de se défaire de quelques possessions lorsque cela s’avère nécessaire.

Les fontes de sa selle sont en cuir bouilli, épaisses et pourtant très simples. Elles contiennent quelques ustensiles de cuisine rudimentaires : une gamelle de fer toute cabossée et une cuillère de bois qu’il taille généralement lui-même et remplace au besoin. A côté de ça, il transporte habituellement une petite corde, quelques rations de voyage – généralement de la viande qu’il fait sécher après une chasse – et de l’eau dans une gourde lorsqu’il quitte les abords des rivières. Lorsqu’il en trouve, il transporte également quelques silex et en garde généralement un ou deux pour allumer ses feux.

Niveau armement, il n’est pas moins dépourvu. Arc et épée à une main, légère mais très efficace, l’accompagne très souvent. Plus doué à l’épée qu’à l’arc, il reste néanmoins un chasseur hors pair une fois cette arme dans les mains.

L’unique objet auquel il accorde réellement de la valeur, c’est le couteau que lui a offert son père, avant qu’il ne parte. De belle facture, il n’en fait pas moins une piètre arme en combat. Il l’utilise pour dépecer ses proies ou tailler ses flèches, voire encore pour s’occuper lorsqu’il est seul à tailler de jolies figurines dans le bois prélevé sur place. Il sait en prendre soin et redonner à la lame son tranchant lorsqu’elle en a besoin.

Vêtu le plus souvent de vêtements d’aucun qualifieraient de « bon à jeter », il porte en permanence des gants de cuir pour se prémunir des serres acérées de Kov. Et même avec cela, l’aigle arrive encore de temps en temps à percer la membrane et à lui écorcher les poignets, ce qu’il fait qu’il doit souvent s’en trouver ou s’en fabriquer d’autres.


L'interrogatoire d'Inasmir
Je ne vous apprends rien en vous disant que Lanriel possède un roi, mais ce que j'aimerais savoir c'est ce que vous pensez de lui :
    Le roi est le roi. Pour Keid, il n’est rien d’autre que le souverain du royaume, soit une étrange idée un peu vague d’un trône au milieu d’un palais et d’un homme y étant assis, tranchant dans le vif de la justice et décidant des actions guerrières de ses soldats comme on jouerait à un jeu d’échec. Il ne s’en est jamais vraiment préoccupé, et sa justice ne sera jamais vraiment la sienne. Il a appris dès son plus jeune âge à repérer les gens, à les sonder et à s’en méfier si besoin était. D’ailleurs, même si cela n’est encore jamais vraiment arrivé, il ne doute pas qu’un jour, il risque d’enfreindre les lois de Lanriel. Du moins, celles de ce roi. Car si l’homme peut se montrer parfois cruel de par sa nature, il en existe qui soient réellement habités par le mal. Il le sait. Pas instinct. Et il n’hésiterait pas, en pareil cas, à faire la seule chose qu’il puisse faire : l’éliminer…

On a tous son petit ego et moi, Inasmir, le sorcier légendaire, n'échappe pas à ce vice. Alors répondez donc à cette question, que pensez-vous de moi?
    Il a toujours trouvé très dérangeant à penser qu’un seul homme, même sorcier, ait pu emmagasiner tant de puissance à l’intérieur de lui pour pouvoir créer, et surtout maintenir pendant des années, un si grand et si puissant bouclier. Keid n’a, à vrai dire, jamais apprécié les sorciers. Et bien qu’il soit généralement plus réservé et méfiant que belliqueux, il peut parfois avoir des réactions inappropriées. Il a souvent du mal à faire la part entre son instinct, et sa raison. Sa raison qui lui pose ces questions, qu’il ne peut révoquer : Eydis n’a-t-elle pas permis leur venue au monde ? Ne les a-t-elle pas doté elle-même de ces dons exceptionnels ? A l’instar des devins, dessinateurs et autres personnes possédants des pouvoirs dépassant l’entendement, d’ailleurs… Mais si, au final, Inasmir n’est peut-être qu’un homme, et quelle qu’ait été la raison de son abandon soudain de la cité, cela excuse-t-il son geste ? Pas pour lui, en tout cas. L’égo n’est, d’après lui, pas le plus grand vice du « sorcier légendaire »… Mais il n’a pas encore trouvé de nom à mettre sur celui-ci : cruauté ? lâcheté ? …

La chute du Bouclier aurait secoué toutes les terres mais il y a des gens que cela laisse de marbre, je serai curieux de savoir si vous êtes une de ces personnes
    Théoriquement, on ne peut pas vraiment parler de conséquences personnelles dans son cas. N’ayant jamais vécu plus de quelques jours d’affilée à Cathairfál, il n’a jamais vraiment goûté à la paix que les habitants connaissaient à l’époque ou le bouclier les protégeaient encore des créatures de Vorlun. Mais son cœur souffre aujourd’hui, à penser au nombre de morts et de blessés que les habitants doivent compter chaque matin. Ont-ils tous tant pêché pour qu’Eydis, pourtant silencieuse contemplatrice de tout ce malheur, les punisse à nouveau aujourd’hui par une nouvelle malédiction ? Il ne rechigne pas à l’avouer : l’inquiétude commencer à le guetter. Non d’affronter le froid ou les créatures, mais d’un sinistre futur qui se profile à l’horizon.

Mais dites-moi mon ami(e), racontez-moi donc un peu ce qui fait de vous un être si exceptionnel...
    Voilà vingt ans que Keidilind Nydewald traverse ces contrées, tantôt sur le dos d’un cheval, tantôt à pied. Et ne croyez pas que cela le gène outre mesure de ne pas avoir de monture. Les rôdeurs ont rarement le luxe de se payer une selle et l’animal qui va avec. De plus, il est très bien capable de porter son équipement et ses armes, et de traverser une région sans faillir, presque aussi vite qu’un équidé ne l’aurait fait, et par des chemins qui lui seraient inaccessibles.

    Outre ce détail, Keid est un combattant, plus doué à l’épée qu’à l’arc. Sa mère lui a appris bien des choses, dont l’utilisation des plantes médicinales, mais il n’est pas guérisseur, sauf peut-être en ce qui concernerait le soin à apporter aux blessures légères et à quelques dérangements intestinaux…

Tous les goûts sont dans la nature, n'est-ce pas? Alors éclairez-moi donc sur les vôtres...
    La plupart du temps assez seul, avouer que Keid aime la compagnie pourrait paraître paradoxal, mais c’est pourtant le cas. Il est seulement – peut-être – parfois un peu trop sélectif. Et s’il n’a jamais eu l’idée de faire sa vie avec quelqu’un en particulier, c’est parce qu’il n’a jamais trouvé la bonne et que sa vie actuelle lui plait bien plus qu’une vague idée d’une famille et d’un ménage. Les temps qui courent ne sont pas pour lui des temps à se poser dans un coin et à tenter d’entretenir une paix personnelle et précaire.

    Ce que Keid aime surtout, c’est les montagnes. Il aime sentir le vent et la neige soudaine qui peut y tomber en seulement quelques minutes. Il n’aime pas beaucoup la plaine. Trop vides et trop à découvert, les régions plates lui ont toujours enserré le cœur de leur horizon trop bleu. Il se retrouve donc plus généralement en forêt que sur les routes désertes de Lanriel, mais ne peut parfois y couper pour sa seule envie.

Tout le monde veut quelque chose, il suffit de découvrir ce que VOUS vous désirez.
    Il y a des choses qu’un homme peut désirer, mais qu’il sait qu’il n’atteindra jamais. S’il pouvait éradiquer le mal qui consume Lanriel, il le ferait. S’il pouvait apaiser le cœur d’Eydis par son propre sacrifice au secours d’un innocent, il le ferait. Mais il n’est qu’un homme… un homme qui connaît la valeur de la vie dans ce monde. Et elle s’avère avoir souvent une valeur réelle plutôt misérable comparé à celle qu’il lui impute. Vivre avec la forêt et les animaux sauvages a eu un effet étrange sur lui, enfant. Au lieu d’anéantir, petit à petit, toute part d’humanité, cela n’a fait qu’en exacerber des petites parties bien précises. Enfin, s’il se retrouve souvent à souhaiter la paix dans le monde, il lui arrive également d’avoir envie de besoin plus simples : la chaleur d’une femme, un repos bien mérité, ou encore de contrées encore inexplorées et de trouvailles merveilleuses… Petit, il rêvait toujours de percer le mystère des grands-aigles ! Et ce rêve a toujours été sien, en réalité… Chevaucher une de ces merveilleuses créatures, reviendrait pour lui comme à se découvrir soudainement dragonnier !

Et les autres dans tout ça.
    Kied n’est peut-être pas l’homme le plus sociable de Lanriel. Peut-être… Sans doute pas… Il n’a pas la parole facile, mais reste généralement de bonne compagnie. Il sait écouter, mais les relations humaines ne sont pas sa spécialité. Il a des amis, et des ennemis. Probablement comme chacun d’entre nous sur terre. Mais il ne voue guère de haine particulière à quiconque, excepté sa méfiance avérée envers la magie. Il apprécie généralement les druides. Et les rôdeurs ont souvent toute sa confiance dès le départ. Les dragonniers le fascinent. Et il sera toujours prêt à aider quiconque lui demandera son aide, pour autant qu’ils ne fassent rien pour attiser quelque sentiment désagréable en lui.


L'humain derrière la légende
Pseudo : Glycérine
Âge : Vingt-deux ans
Sexe : Féminin
Comment avez vous découvert le forum ? (On va en faire un club) « Par Una ! » ^^
Ce que vous aimeriez dire pour conclure : C'toujours moi. La bonne, cette fois =).

Et pour les crédits c'est par ici
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Una Syrion

Una Syrion

▬ Contributions à l'histoire : 3021

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MessageSujet: Re: Keidilind « Keid » Nydewald    Keidilind « Keid » Nydewald  EmptySam 14 Mai 2011, 17:39

Re-bienvenue. Keidilind « Keid » Nydewald  450322

Je pourrais tenir Kov sur mon bras ? Keidilind « Keid » Nydewald  5249
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MessageSujet: Re: Keidilind « Keid » Nydewald    Keidilind « Keid » Nydewald  EmptySam 14 Mai 2011, 18:34

Re-merci !! Keidilind « Keid » Nydewald  580957

Vi tu pourras. Mais fait gaffe, c't'un vrai fanfaron !
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MessageSujet: Re: Keidilind « Keid » Nydewald    Keidilind « Keid » Nydewald  EmptyDim 15 Mai 2011, 10:53

OMG OMG Jamie et un rôdeur en plus Keidilind « Keid » Nydewald  671916

Bienvenue!!!!
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Jullanar Osgrey

Jullanar Osgrey

▬ Contributions à l'histoire : 4794

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MessageSujet: Re: Keidilind « Keid » Nydewald    Keidilind « Keid » Nydewald  EmptyDim 15 Mai 2011, 11:03

Re-bienvenue, si j'ai bien compris ! Keidilind « Keid » Nydewald  94528
J'ai beaucoup aimé ta fiche et ton style d'écriture, c'était très agréable à lire et ton personnage est très intéressant. C'est donc un Rôdeur de plus qui va parcourir nos belles terres de Lanriel. :)
Bon jeu ! Keidilind « Keid » Nydewald  Herz
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MessageSujet: Re: Keidilind « Keid » Nydewald    Keidilind « Keid » Nydewald  EmptyDim 15 Mai 2011, 12:30

Merci bien Miss Osgrey ! Et ravie que ma fiche vous ai donné satisfaction =)

Merci Lumen ! Keidilind « Keid » Nydewald  367509
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L'Archiviste
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Citation :
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MessageSujet: Re: Keidilind « Keid » Nydewald    Keidilind « Keid » Nydewald  EmptyDim 15 Mai 2011, 12:51

Rebienvenue. Keidilind « Keid » Nydewald  748815 Keidilind « Keid » Nydewald  902798
Jaaaaaaamie. Keidilind « Keid » Nydewald  671916
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Madwyn Dinaflet

Madwyn Dinaflet

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MessageSujet: Re: Keidilind « Keid » Nydewald    Keidilind « Keid » Nydewald  EmptyDim 15 Mai 2011, 20:20




Re *en retard mais c'est pas grave* Keidilind « Keid » Nydewald  191321
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MessageSujet: Re: Keidilind « Keid » Nydewald    Keidilind « Keid » Nydewald  EmptyDim 15 Mai 2011, 20:22

Jamais en retard Keidilind « Keid » Nydewald  748815

Merci à tous les deux ^^
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MessageSujet: Re: Keidilind « Keid » Nydewald    Keidilind « Keid » Nydewald  Empty

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